2Wi interpelle sa “Lisa” !
2Wi est un artiste véritablement hors du commun. Encore un énième rappeur masqué ? Pas du tout. Loin de la violence brute de “La Sauvagerie” de Kalash Criminel ou du rap thug de Kekra, 2Wi se démarque par des sonorités plus chill, plus posées....
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2Wi est un artiste véritablement hors du commun. Encore un énième rappeur masqué ? Pas du tout. Loin de la violence brute de “La Sauvagerie” de Kalash Criminel ou du rap thug de Kekra, 2Wi se démarque par des sonorités plus chill, plus posées. Passionné par la mode et soucieux de l’esthétique visuelle de ses clips, il vient de dévoiler le deuxième extrait de son tout 1er projet, tourné dans la vibrante ville de Tokyo.
2Wi interpelle sa “Lisa” !
La composition instrumentale du titre est signée Le Dim et Bod, membres du 75erastudio. À noter que Le Dim a également participé à la production du célèbre featuring entre Soso Maness et Naps sur le morceau à succès “Allez”. Ici, l’instru est construite autour d’un sample de guitare qui évolue en un solo captivant en fin de piste, soutenu par une rythmique d’influence latino. La voix de 2Wi, enveloppée d’échos, traverse tout le morceau avec une intensité subtile. Chaque détail sonore et visuel témoigne d’une recherche pointue d’unicité et d’originalité, permettant à l’artiste de se distinguer de ses pairs.
Avec arrogance et style, 2Wi balance des punchlines audacieuses, souvent inspirées par des références à de grandes marques : “Je laisse la gamos au valet” ou encore “pour régler le litige, il me faut l’Audemars”. Les paroles sont prononcées avec une douceur maîtrisée, sans précipitation, sur une production à l’atmosphère plus apaisée que percutante.
Tourné à Tokyo, le clip est réalisé par Lokeman, un expert dans l’art de capturer des ambiances uniques. Entre scènes de rue vibrantes et plans en solo, le rappeur évolue dans une palette bleutée qui reflète parfaitement l’essence électrique et chill du morceau. Lokeman n’en est pas à son coup d’essai, ayant déjà signé en 2021 la réalisation du featuring entre Lonepsi et Sofiane Pamart sur “Ce que je vis me manque déjà”.
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