30 ans après, “Qui sème le vent récolte le tempo” de MC Solaar est enfin disponible en streaming !

Trente ans après sa sortie, Qui sème le vent récolte le tempo, album inaugural de MC Solaar va enfin avoir le droit à l’exposition numérique et physique qu’on lui avait refusée à l’aube des années 2000. Indisponible depuis ce début de siècle...

30 ans après, “Qui sème le vent récolte le tempo” de MC Solaar est enfin disponible en streaming !

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Trente ans après sa sortie, Qui sème le vent récolte le tempo, album inaugural de MC Solaar va enfin avoir le droit à l’exposition numérique et physique qu’on lui avait refusée à l’aube des années 2000. Indisponible depuis ce début de siècle à cause d’un procès entre le rappeur et la maison de disques Polydor, les débuts discographiques de “l’as de pique qui pique ton cœur” vont enfin trouver le chemin des plateformes de streaming et des bacs des disquaires.

Avant l’arrivée à l’automne prochain de Paradisiaque et Prose Combat, l’accord trouvé entre Polydor et Claude MC nous gratifie d’un retour de Qui sème le vent récolte le tempo sur le devant de la scène. Du pain béni pour les amateur·rices de rap 1ère génération qui rongeaient leur frein depuis 20 ans, maintenant et qui peuvent désormais réécouter n’importe où le flow limpide de MC Solaar et les productions immaculées de la paire Boombass/Philippe Zdar

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Boombass et le boom-bap

Alors directeur artistique chez Polydor en 1991, Hubert Blanc-Francard alias Boombass s’associe avec le regretté Philippe Zdar (Phoenix, Kindness, Beastie Boys…) avec qui il formera La Funk Mob et Cassius pour produire les trois 1ers albums de MC Solaar. Dans son livre Boombass : Une histoire de la French Touch, Hubert Blanc-Francard revient d’ailleurs sur cette épopée et sur les liens entre musique électronique et rap dans les années 1990. Une épopée dont les productions immaculées et largement épargnées par le temps de Qui sème le vent récolte le tempo sont un formidable témoin.

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