À la plage, les poils dérangent encore
HARCÈLEMENT - Du regard insistant à la remarque déplacée, il n’y a qu’un poil. Et nombreuses sont les femmes qui ont décidé de ne plus s’épiler avant d’aller à la plage. Mais beaucoup d’entre elles doivent faire face à des remarques d’inconnus...
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HARCÈLEMENT - Du regard insistant à la remarque déplacée, il n’y a qu’un poil. Et nombreuses sont les femmes qui ont décidé de ne plus s’épiler avant d’aller à la plage. Mais beaucoup d’entre elles doivent faire face à des remarques d’inconnus ou même directement de leur famille, comme nous l’explique Léa Taieb dans la vidéo ci-dessus.
“Pour 80% des femmes, la préoccupation principale avant un départ en vacances est l’épilation”, explique Léa Taieb. En collaboration avec Juliette Lenrouilly, les deux journalistes ont enquêté sur le sujet et sorti le livre “Parlons Poils!”.
Dans notre article sur le harcèlement de plage, Johanna Dagorn, sociologue à l’université de Bordeaux et spécialiste des violences de genre, expliquait: “Le corps des femmes est toujours disponible, est toujours source de commentaires, dans l’espace public comme sur la plage. La particularité, ici, c’est que les corps se donnent davantage à voir”.
À voir également sur Le HuffPost: En refusant l’épilation, comment les femmes se réapproprient leur corps