À Paris, Schiappa veut créer des salles de repos pour les livreurs

REGIONALES - Tête de liste LREM à Paris pour les élections régionales en Île-de-France, la ministre déléguée à la citoyenneté, Marlène Schiappa a évoqué dans 20 minutes ce dimanche 24 mai une mesure concernant les livreurs de repas à domicile. ...

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Marlène Schiappa à Albi, le 27 octobre 2020

REGIONALES - Tête de liste LREM à Paris pour les élections régionales en Île-de-France, la ministre déléguée à la citoyenneté, Marlène Schiappa a évoqué dans 20 minutes ce dimanche 24 mai une mesure concernant les livreurs de repas à domicile.  Avec le confinement et le couvre-feu ces derniers ont été particulièrement sollicité depuis un an. 

Marlène Schiappa propose ainsi de créer des salles de repos, pour que les livreurs qui n’ont pas toujours la possibilité de rentrer chez eux lors d’une pause puisse trouver un endroit à l’abri, et même prendre une douche, ou se reposer. Pour mener à bien ce projet, si elle est élue, la ministre évoque dans 20 minutes différentes étapes: “La 1ère étape sera de quantifier le nombre de livreurs, la seconde de réaliser une cartographie de l’Ile-de-France avec les points névralgiques où les livreurs attendent”. 

Le dispositif de la ministère serait financé par les plateformes de livraisons habituelles et les mairies. 

La proposition a de quoi rappeler “la maison des coursiers”, un dispositif similaire portée par la conseillère PCF, Barbara Gomes, dans le 18e arrondissement de la capitale. “Ce n’est pas tout à fait la même chose”, assure néanmoins la ministre. Parmi les différences, de fait, comme le relaie 20 minutes, il n’est pas prévu que les salles de repos envisagées par la ministre puissent accueillir “des permanences syndicales”. Contrairement au projet communiste.

Par ailleurs, dans le projet de Barbara Gomez, il n’est pour l’instant pas question de se mettre en lien avec les plateformes. Chez nos confrères de Konbini en décembre dernier, elle voyait ainsi dans ces lieux l’opportunité d’organiser “des permanences syndicales et associatives”, des “réunions de la CGT” ou des “interventions de la sécurité routière”. “C’est vraiment l’idée d’avoir un endroit où l’on puisse organiser des actions”, abondait-elle.

Marlène Schiappa assure de son côté que ce qui compte c’est le consensus: “Si l’initiative est bonne. Peu importe d’où elle vient politiquement, il faut qu’il y ait consensus comme le font des pays nordiques dont les idées m’ont inspirée”.

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