A Poissy, ces images de policiers pris à partie suscitent l'indignation

POLICE - Pas de blessé mais une grosse frayeur. Des policiers, appelés pour disperser un attroupement, ont été pris à partie ce samedi 13 février en fin d’après-midi, à Poissy dans les Yvelines. Ils ont été accueillis par une trentaine de personnes...

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Ces images de policiers pris à partie à Poissy suscitent l'indignation

POLICE - Pas de blessé mais une grosse frayeur. Des policiers, appelés pour disperser un attroupement, ont été pris à partie ce samedi 13 février en fin d’après-midi, à Poissy dans les Yvelines. Ils ont été accueillis par une trentaine de personnes qui leur ont lancé projectiles et mortier d’artifice, relaie BFMTV. 

Sur Twitter, le syndicat indépendant des commissaires de Police (SICP) a posté une vidéo prise au sein du groupe de jeunes et sur laquelle on peut clairement entendre l’un des assaillants dire à propos des policiers: “tuez-les, tuez-les tous”. 

La séquence a déclenché de nombreuses réactions à commencer par celle du maire de la ville, Karl Olive. Dans un communiqué l’édile divers droite de Poissy fait part de sa “frustration” alors que la mairie estime avoir fait de nombreux investissements pour les jeunes, mais aussi de sa colère: “il ne peut y avoir d’excuse pour de tels actes”. Comme le SICP,  l’élu qui appelle au calme, s’agace également des préconisations de la défenseure des droits, Claire Hédon, qui a dit ce week-end vouloir tester des zones sans contrôle d’identité afin de répondre notamment aux discriminations. 

Une critique reprise par le député LREM d’Indre-et-Loire, François Jolivet qui a pointé de son côté des “zones de non droit’. 

D’autres élus ont également fait part de leur indignation face à ces images, à l’instar de la députée LR des Bouches du Rhône,  Valérie Boyer, ou du président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan. 

La députée LR, Michèle Tabarot a également apporté tout son soutien aux policiers, écrivant sur Twitter: “Partout où l’État est défié, le gouvernement doit conjuguer sans détour fermeté et réponse pénale exemplaire pour reprendre le contrôle des quartiers gangrenés par l’ultra-violence et l’insécurité”.  

 

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