A voir : The Murlocs ressuscitent les années 80 dans “Francesca”
Déjà au four et au moulin sur l’une des discographies les plus pléthoriques depuis les années 2010 chez King Gizzard & The Lizard Wizard – 17 albums en 11 ans, auxquels Les Inrockuptibles ont consacré une rétrospective plus que nécessaire –,...
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Déjà au four et au moulin sur l’une des discographies les plus pléthoriques depuis les années 2010 chez King Gizzard & The Lizard Wizard – 17 albums en 11 ans, auxquels Les Inrockuptibles ont consacré une rétrospective plus que nécessaire –, Ambrose Kenny-Smith et Cook Craig continuent leur chemin en dehors de la formation australienne avec le quintet The Murlocs. Auteur de 4 albums entre 2014 et 2019, le groupe de Melbourne revient à la charge avec Bittersweet Demons, un tout nouveau disque prévu pour le 25 juin prochain chez le label new-yorkais ATO (Black Pumas, Alabama Shakes).
Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, cette annonce s’accompagne d’un 1er single intitulé Francesca. Derrière les guitares empreintes de psychédélisme, de blues-rock et de sunshine-pop, on y découvre une ode à quelqu’un de cher à Kenny-Smith. “Cette chanson est à propos de ma mère dont la vie intime s’est brusquement arrêtée lors de sa séparation d’avec mon père, quand j’avais dix ans, explique le frontman dans un communiqué. Il y a à peu près un an et demi, elle a retrouvé l’amour avec un ami proche de notre famille, une personne qui a toujours été comme un parrain et un mentor pour moi. Son bonheur l’a transformée et on peut la voir, en grande forme, dans la vidéo du titre, car je tenais à ce qu’elle y figure.”
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Positive attitude
Réalisé par Alex McLaren, le clip de Francesca – librement inspiré de celui d’I Love LA de Randy Newman – s’imprègne totalement des années 80, qui servent de décor aussi bien musicalement qu’esthétiquement à ce nouveau morceau. “Il s’agit sans doute de la chanson la plus positive, la plus feel-good qu’on ait jamais écrite”, ajoute Ambrose Kenny-Smith.
Avec des références assumées au 1er album solo de John Lennon ou encore à Pussy Cats de Harry Nilsson (produit par Lennon), Bittersweet Demons promet de poursuivre le sillon entamé par ce 1er single surexcité.