A voir : “Vague”, le premier clip renversant de VAY
A l’écoute de certaines mélodies, certaines sémillantes inflexions de voix, il semble impossible de négliger l’influence de Disiz sur la musique de VAY. Rien d’étonnant donc à ce que son single inaugural porte le nom de Vague tant il puise...
admin
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
A l’écoute de certaines mélodies, certaines sémillantes inflexions de voix, il semble impossible de négliger l’influence de Disiz sur la musique de VAY. Rien d’étonnant donc à ce que son single inaugural porte le nom de Vague tant il puise en partie ses influences dans l’aventureux Pacifique de l’auteur de J’pète les plombs. Le jeune montpelliérain de 22 ans partage aussi avec son aîné amiénois le même goût pour l’expérimentation, les textures sonores aquatiques, les mélodies efficaces et une approche syncrétique du rap qui infuse presque toujours dans des influences nu-soul voire r’n’b.
Réalisé par Romain Habousha (Swing, Gambi), entre l’urbanité de la capitale belge et la ruralité de la petite ville de Lommel, le clip de Vague tente de capter les désirs d’évasion du songwriter. Désaxé à la ville, apaisé à la campagne, cette porte d’entrée dans l’univers de VAY cerne à merveille son univers fait de ruptures de ton, d’envolées lyriques et d’ad-libs syncopés.
>> A lire aussi : Gainsbourg dans les yeux de Sébastien Tellier : “Son âme suintait de chaque note”
Storytime
Fils de musicien, VAY s’est lancé corps et âme dans la musique à l’âge de 17 ans en abandonnant ses études. Cette urgence de créer transpire sur ce single envoyé en éclaireur. A l’instar de ses courses frénétiques dans les bois de Lommel, VAY ne pouvait décemment pas choisir meilleur morceau d’ouverture à sa jeune carrière pour illustrer sa fuite en avant – de celle qu’on suivra avec attention.
>> A lire aussi : Avec “Sand”, Balthazar peaufine son orfèvrerie pop
