Ademo (PNL) : Le jugement à la suite de son interpellation musclée a eu lieu !
Au mois de septembre 2020, Ademo avait fait l’objet d’une arrestation musclée dans les rues de Paris alors qu’il était en compagnie de sa femme et de son enfant. Une affaire dont le jugement a eu lieu le 14 avril dernier. Il aura fallu sept...
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Au mois de septembre 2020, Ademo avait fait l’objet d’une arrestation musclée dans les rues de Paris alors qu’il était en compagnie de sa femme et de son enfant. Une affaire dont le jugement a eu lieu le 14 avril dernier.
Il aura fallu sept mois pour que l’affaire opposant Ademo et les policiers qui l’avaient interpellé en septembre 2020 ait lieu. Un procès pendant lequel chacune des parties avait livré sa version des faits. L’avocat des forces de l’ordre ainsi de mettre en avant le fait que le frère de NOS avait élevé la voix exprès afin d’attirer l’attention des badauds. Pour ce dernier, il est clair que le rappeur voulait se faire arrêter afin de se faire de la publicité. Ces déclarations sont plutôt contradictoires avec la discrétion dont le groupe PNL avait fait preuve pendant toutes ces années d’existence.
A chacun sa version des faits
Toujours l’avocat des forces de l’ordre de rappeler au juge qu’Ademo avait été surpris en train de rouler un joint alors qu’il marchait dans les rues de Paris. Les policiers voulaient alors l’interpeller lorsqu’il avait fait preuve d’une violence inouïe. Obligeant ainsi ces derniers à le plaquer au sol afin de le mettre hors d’état de nuire. A l’époque, le rappeur les avait invités à un combat singulier. Chose qui n’avait bien entendu pas eue lieu. Les réactions des internautes se sont en tout cas fait particulièrement virulentes sur les réseaux sociaux comme le rappelle l’un des policiers présents au moment des faits.
Pour sa défense, Ademo avait déclaré qu’il avait été surpris par la tape à l’épaule que le policier lui avait faite pour l’interpeller. Ce seraient alors les forces de l’ordre qui auraient été violents en 1er. Des déclarations contradictoires que le juge a entendues. Il donnera son verdict plus tard mais en attendant, deux mois sous bracelet électronique et 1000 euros d’amende ont été requis par l’accusation.