Après la cérémonie d’ouverture des JO, Philippe Katerine sort le clip de “Nu”
Un air à entonner dans le plus simple appareil. S’il chantait Sous mon bob le mois dernier, couvre-chef vissé sur la tête, Philippe Katerine semble bien s’être allégé de tout accoutrement – bob comme vêtements. Preuve en est : Nu, un single...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Un air à entonner dans le plus simple appareil. S’il chantait Sous mon bob le mois dernier, couvre-chef vissé sur la tête, Philippe Katerine semble bien s’être allégé de tout accoutrement – bob comme vêtements.
Preuve en est : Nu, un single sorti dans la foulée de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, le 26 juillet, soirée lors de laquelle l’artiste a interprété pour la 1ère fois ce titre. Il y était apparu la peau recouverte de peinture bleue, déguisé en Dionysos – dieu du vin et de l’ivresse – et, comme l’indique le titre du morceau, (presque) nu.
Un clip sans habits ni apparats
En sus de cette performance aussi fantasque que remarquée, Philippe Katerine a partagé un clip pour accompagner cette nouvelle chanson, réalisé par Gaëtan Chataigner.
Il s’ouvre avec une scène un brin farfelue, reprenant les codes des émissions de télévision : on l’y voit Camille Combal aux côtés du musicien, crâne recouvert d’un dessin représentant une serrure. L’animateur nous apprend, d’ailleurs, qu’“il est désormais interdit de porter un pull sur les épaules”… Même si ça, on s’en doutait un peu déjà.
Puis Katerine fait tomber le peignoir et s’installe face à un piano blanc, nu comme un vers. Devant un public médusé (et tout aussi dénudé), il commence à chanter. “Est-ce qu’il y aurait eu des guerres si l’on était restés tout nus ?”, interroge-t-il. En voilà une bonne question.