Après un autotest, il faut vous enregistrer sur cette plateforme
AUTOTESTS - Le décret a été publié ce lundi 21 juin au Journal officiel. Les personnes qui réalisent un autotest pour dépister le Covid-19 devront désormais dire si elles sont positives ou négatives via la plateforme “Mon AutoTest”, lancée...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
AUTOTESTS - Le décret a été publié ce lundi 21 juin au Journal officiel. Les personnes qui réalisent un autotest pour dépister le Covid-19 devront désormais dire si elles sont positives ou négatives via la plateforme “Mon AutoTest”, lancée ce même jour.
Selon nos confrères du Parisien, qui relaient l’information, ce décret prévoit la création d’un “Portail Autotest Covid-19” qui contiennent “les informations personnelles, le consentement de la personne, les conditions de réalisation du test et le résultat”.
Pour accéder à cette plateforme, il faudra donc se créer un compte avant de remplir un petit formulaire. Il faudra notamment donner la date et le lieu de réalisation de l’autotest, les informations sur le patient (nom, âge, sexe, etc), et les résultats du test. Il s’agit d’une déclaration sur l’honneur où aucune preuve, telle qu’une photocopie du test, ne sera demandée.
Des données anonymisées
Toujours selon Le Parisien, ces données seront anonymisées avant d’être transmises aux services compétents. Les résultats du test seront quant à eux conservés pendant trois mois.
Cette nouvelle démarche intervient quelques mois après une alerte de la Haute autorité de la santé. Dans un avis rendu le 16 mars dernier, cette dernière estimait que “la traçabilité des autotests n’est pas garantie, impactant ainsi l’évolution de l’épidémie ou encore les mesures d’isolement ou la recherche des cas contacts”.
Le gouvernement mise beaucoup sur le déploiement des autotests pour lutter contre la pandémie. “Avec 2.000 à 3.000 cas par jour, ce n’est plus le virus qui nous traque, c’est nous qui le traquons”, assurait le ministre de la Santé, Olivier Véran, au Journal du dimanche, misant sur la multiplication “des dépistages collectifs par autotest” cet été et un “tracing rétrospectif, à la japonaise”.
À voir également sur Le HuffPost: En Chine, les autorités manient la carotte et le bâton pour pousser à la vaccination