Avec Destiino, Yuksek s’offre une parenthèse sombre et mélancolique
Invité à la Biennale de Venise en 2017 par l’artiste Xavier Veilhan – qui avait transformé le pavillon français en studio d’enregistrement –, Yuksek était sorti de sa zone de confort en triturant ses machines pour de longues improvisations...
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Invité à la Biennale de Venise en 2017 par l’artiste Xavier Veilhan – qui avait transformé le pavillon français en studio d’enregistrement –, Yuksek était sorti de sa zone de confort en triturant ses machines pour de longues improvisations où il ralentissait le rythme et laissait s’installer des plages synthétiques inspirées autant par l’ambient que par l’electro mentale ou le Krautrock.
Nouvelle facette de l’univers du producteur et DJ, capable de s’ébattre dans le revival disco comme dans les bandes-son de films, Destiino, en forme de concept album mélancolique et expérimental, est tombé dans les oreilles de Chloé, qui a décidé de le sortir sur son label Lumière Noire.
“Un concept artistique global”
“J’accueille souvent sur le label des projets qui ne s’inscrivent pas vraiment dans la techno ou la pop, le rock ou l’electronica, explique la productrice, il y a chez Destiino une prise de risques et un univers qui me correspondent. Selon moi, Destiino est avant tout un concept artistique global.” Disque brut et introspectif par ses textures, Destiino s’impose comme une parenthèse addictive sombre et mentale dans la galaxie musicale de Yuksek qui n’en finit plus de nous surprendre.
Destiino (Lumière Noire Records/! K7)