Bernard de la Villardière : ses enfants dévoilent un comportement exigeant et colérique
Toutes ces années de carrière remarquable de Bernard de la Villardière dans le journalisme lui ont permis de créer sa propre société. Baptisée Ligne de front, cette dernière est spécialisée dans la production média. Une boîte qu’il gère d’une...
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Toutes ces années de carrière remarquable de Bernard de la Villardière dans le journalisme lui ont permis de créer sa propre société. Baptisée Ligne de front, cette dernière est spécialisée dans la production média. Une boîte qu’il gère d’une main de fer si on se fie aux dernières confidences de ses enfants. Le célèbre présentateur d’Enquête Exclusive travaille en effet avec ces derniers. Une demande qu’il leur a expressément faite il y a de cela quelques années. Ses deux aînés sont justement revenus sur cette collaboration au cours d’un récent entretien avec nos confrères de Gala. « C’est notre père qui a insisté pour que nous travaillons avec lui » se sont-ils exprimés dans un 1er temps.
Un patron exigeant mais un père aimant
Les deux aînés de Bernard de la Villardière ne s’arrêtent toutefois pas là dans leurs révélations. Ils ont également mis un accent sur le fait qu’il soit à la fois exigeant et colérique. Autant vous dire que le journaliste n’est pas vraiment du genre à tolérer l’échec : « Si on rate un truc, on déçoit plus que notre boss ». Et à en croire leurs mots, ce dernier ne serait pas des plus faciles à satisfaire. Mais en fin de compte, la star du petit écran a sans doute raison d’éviter de mélanger vie privée et vie professionnelle. C’est qu’il souhaite voir sa boîte avancer et entre de bonnes mains. Toujours Caroline d’avancer : « Je le prends mal dans la seconde et puis je sais que cela lui passe. C’est comme lorsqu’il était à cheval sur nos bulletins scolaires. Qu’il s’énervait puis qu’il disparaissait en reportage trois semaines. Et que ça retombait jusqu’au bulletin d’après ».
Son exigence et sa colère, Bernard de la Villardière l’a toujours assumé. D’ailleurs, cela finissait par s’estomper à mesure que le temps avançait. Sa fille Caroline le reconnaît : « Il se mettait beaucoup de pression pour réussir et nous offrir la meilleure éducation ainsi que de beaux voyages. Il profite désormais de sa réussite, est plus apaisé et se place plus dans la transmission ». Ces propos, le journaliste les confirme : « On s’engueule tous. C’est plutôt sain ». Finalement, pas de quoi s’affoler.