Bramsito explique sa sortie shopping avec Booba : «C’est cardio»
Bramisto a raconté les coulisses du clip “Sale mood” avec Booba. Une séance shopping a précédé le tournage, et l’artiste ne s’attendait pas à ça. Cinq ans plus tôt, en novembre 2018, Bramsito s’envolait à Miami pour tourner le clip de “Sale...
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Bramisto a raconté les coulisses du clip “Sale mood” avec Booba. Une séance shopping a précédé le tournage, et l’artiste ne s’attendait pas à ça.
Cinq ans plus tôt, en novembre 2018, Bramsito s’envolait à Miami pour tourner le clip de “Sale mood”, son tube avec Booba. À l’occasion de son nouveau projet Enchanté, l’artiste a raconté les coulisses du visuel pour Rapelite. Et comme il l’explique, l’auteur d’ULTRA n’était pas sûr de la styliste chargée du tournage, alors il a convié son artiste à une petite séance shopping. «Il me dit : “Vas-y, viens, on va acheter des lunettes”, se souvient-il. On va dans un magasin de lunettes, et moi j’ai la notion de l’oseille, je regarde des lunettes à 100 euros, je fais attention».
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Bramsito : «Aujourd’hui c’est un gros classique»
Sauf que visiblement, Bramsito et Booba n’ont pas exactement la même notion de l’argent. «Il dit à mon reuf : “Mais il va où lui ?”, rigole-t-il. Il me dit : “Prends celles-là”. Je vois que ce sont des lunettes Cartier. Il me dit : “Ben ouais t’es là tu dis ‘Je suis en lunettes Cartier’, mais au final t’es pas prêt”». Une référence au refrain culte du morceau, où Bramsito prétend porter des lunettes de la marque de luxe. Sauf qu’à 3.000 euros la paire, Bramsito est loin de ses prix.
«Il me prend la paire, continue-t-il. puis il me dit : “Prends celle-là”. On se prend deux lunettes, et lui-aussi se prend des lunettes, et après il me dit : “Viens on va chez Versace”». La séance shopping se poursuit entre les deux artistes, bien que Bramsito peine à suivre le rappeur : «C’est cardio», rigole-t-il. Il se félicite toutefois d’un visuel et d’un morceau devenus cultes, cumulant plus de 150 millions de vues sur YouTube. «Il m’a fait confiance, et aujourd’hui c’est un gros classique», conclut-il.
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