“Carnage”, l'album surprise de Nick Cave et Warren Ellis est un sublime hymne rimbladien
A côté d’un tableau de Chirico, cette question : comment se passe votre confinement ? C’est Tobias de Londres, qui interroge Nick Cave sur son site, theredhandfiles.com. Après avoir expliqué en quoi son passé d’héroïnomane a pu lui rendre l’expérience...
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A côté d’un tableau de Chirico, cette question : comment se passe votre confinement ? C’est Tobias de Londres, qui interroge Nick Cave sur son site, theredhandfiles.com. Après avoir expliqué en quoi son passé d’héroïnomane a pu lui rendre l’expérience familière, Nick avoue qu’il ne s’attendait pas à être ainsi atteint par l’impossibilité de tourner. A quel point lui manque la communion – la “religion”, selon ses propres termes – que constituent ses concerts toujours intenses. Avant de conclure sa missive par ce lapidaire paragraphe : “Quoi qu’il en soit, et comme promis, je suis retourné en studio, en compagnie de Warren, pour faire un disque. Il s’appelle Carnage.”
C’est ainsi que Nick Cave communique, depuis quelques années. Exit les entretiens parfois conflictuels avec les journalistes : c’est à ses fans qu’il répond directement, au cours de concerts confessions (même dans les salles aux proportions démesurées, comme au ICC de Sydney en 2017 ou celui prévu à Bercy en juin 2020) et surtout via cette plateforme qui propose à qui le souhaite de lui poser toute sorte de questions, parmi lesquelles il pioche régulièrement.