Cassandre Fristot, la femme à la pancarte antisémite, sera jugée le 8 septembre
ANTISÉMITISME - Cassandre Fristot, l’enseignante, interpellée lundi 9 août pour avoir brandi une pancarte antisémite dans une manifestation anti-pass sanitaire deux jours plus tôt à Metz, sera jugée pour “provocation publique à la haine raciale”...
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ANTISÉMITISME - Cassandre Fristot, l’enseignante, interpellée lundi 9 août pour avoir brandi une pancarte antisémite dans une manifestation anti-pass sanitaire deux jours plus tôt à Metz, sera jugée pour “provocation publique à la haine raciale” le 8 septembre, a annoncé le parquet de Metz ce 10 août.
“Elle y répondra du délit de provocation publique à la haine raciale par affiches ou placards”, a précisé, dans un communiqué, le procureur de la République de Metz, Christian Mercuri. Elle encourt un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.
Cassandre Fristot, "connue pour son appartenance à la mouvance d'extrême droite" et qui portait la pancarte à caractère antisémite lors de la manifestation à Metz samedi, est convoquée au tribunal le 8 septembre. #PassSanitairepic.twitter.com/BkRQrptcZM
— Nicolas Berrod (@nicolasberrod) August 10, 2021
Cassandre Fristot, 34 ans, ancienne élue locale et ex-candidate FN aux législatives de 2012, a été interpellée lundi dans la commune d’Hombourg-Haut en Moselle et son domicile perquisitionné.
Le parquet de Metz avait ouvert dimanche une enquête de flagrance sur cette “pancarte au message manifestement antisémite”, selon la préfecture. Les noms de plusieurs responsables politiques, hommes d’affaires et intellectuels, dont la plupart sont juifs, y étaient ciblés.
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