Christophe Dechavanne (Quelle époque !) : "Cela n'a pas été simple ni côté privé, ni côté professionnel…"

Commencez-vous à redescendre du nuage où vous a porté votre retour à l'antenne ?CHRISTOPHE DECHAVANNE :Pas encore. Je n'ai jamais été blasé de rien. Je suis comme un petit gars excité à qui on donne la possibilité de faire des choses qu'il...

Christophe Dechavanne (Quelle époque !) : "Cela n'a pas été simple ni côté privé, ni côté professionnel…"

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Commencez-vous à redescendre du nuage où vous a porté votre retour à l'antenne ?

CHRISTOPHE DECHAVANNE :Pas encore. Je n'ai jamais été blasé de rien. Je suis comme un petit gars excité à qui on donne la possibilité de faire des choses qu'il aime mais de manière différente. Être à l'antenne, c'est un plaisir et c'est mon métier.

Face à Michel Cymes, qui avait évoqué en 2020 la Covid comme une «grippe qui cogne», on vous a senti carrément agacé !

J'ai été touché personnellement à l'époque, parce que ma compagne (le médecin Elena Foïs, sœur de Marina Foïs, ndlr) était à l'hôpital. Elle dirigeait un service Covid. Les gens mouraient dans les couloirs. J'ai eu des copains qui sont morts aussi. Je n'avais jamais eu de copains morts de la grippe...

Le 1er numéro de Quelle époque ! a cartonné avec 1,1 million de curieux. Malgré une légère baisse ensuite, êtes-vous satisfait des audiences ?

Je ne suis jamais content des audiences. Je voudrais surtout être content de moi dans l'émission. Je bosse pour m'améliorer encore.

Tout se passe toujours bien avec Léa Salamé ?

On s'entend très bien. On ne fait pas semblant. J'ai vu passer des trucs sur Internet comme quoi ce n'est pas le cas. Cela n'a aucun sens. Personne ne nous a forcés à travailler ensemble, et personne ne nous y obligera si ça ne va plus.

Vous avez la réputation de ne pas toujours être facile à vivre, ingérable même...

Les Français adorent faire des réputations. Quand les choses ne me paraissent pas justes, je réagis. Je n'ai pas toujours été facile, loin de là. Mais le métier n'est pas facile. Il fallait avoir les épaules solides quand Étienne Mougeotte (ex-vice-président du groupe TF1, ndlr) me disait : «Tu vois bien que le public ne veut plus de toi...» Les messages de gens heureux de me revoir à l'écran m'ont fait chaud au cœur.

Vous en avez pourtant connu des hauts et des bas dans votre carrière !

Dans ma vie privée, aussi. Cela n'a pas été simple ni côté privé, ni côté professionnel... Sinon ce ne serait pas drôle.

Vous aviez soi-disant fait le deuil de l'antenne sans amertume. Vraiment ?

J'ai dit la vérité. J'avais lâché prise. Et à la télé comme en amour, c'est quand on cherche le moins que ça vous tombe sur le coin du pif. (Il sourit.)

Vos propositions aux chaînes sont-elles mieux accueillies ?

J'espère que ce sera le cas. Je reste accroché à l'idée qu'il faudrait une émission sur les animaux sur le service public, par exemple.

Quelle époque ! © © GILLES GUSTINE - FTV Quelle époque ! © © GILLES GUSTINE/FTV Quelle époque ! © © NATHALIE GUYON - FTV Quelle époque ! © © NATHALIE GUYON - FTV Quelle époque ! © © NATHALIE GUYON - FTV Quelle époque ! © © NATHALIE GUYON - FTV