City Band ou le miracle pop lo-fi qu’on n’attendait plus
En 2021, on peut encore être émerveillé par un album de pop indie à guitares conçu avec les moyens du bord, sans aucun artifice. Si l’écoute du premier LP de City Band, groupe formé par quelques figures discrètes de l’underground hexagonal...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
En 2021, on peut encore être émerveillé par un album de pop indie à guitares conçu avec les moyens du bord, sans aucun artifice. Si l’écoute du premier LP de City Band, groupe formé par quelques figures discrètes de l’underground hexagonal (vues dans Bisou de Saddam, Albinos Congo, Scenes from Salad ou Unchained), renvoie à un âge d’or et à des références évidentes du genre, il évite avec brio l'écueil de l'exercice de style “revivaliste”.
Une forme de nostalgie déroutante
Enregistrés en quelques semaines en banlieue parisienne, ces morceaux désarment par leur science mélodique et une composition brute. Le genre d’honnêteté punk dans la pop qu’on a tant affectionné chez The Go-Betweens ou Deerhunter. 4 Chemins ou La Symétrie des fruits, qui sortent clairement du lot, renvoient l’image d’esthètes au bord du gouffre.