Clément Froissart surfe sur “La Vague aux cheveux d’or” dans son dernier clip
Depuis qu’il officie en solo dans son propre studio à Hossegor, l’ex-leader de Concorde, Clément Froissart, tient toujours à soigner ses clips. Tout a commencé avec le superbe triptyque de singles clippés, Dreamers/Peupleraie/Amour armure –...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Depuis qu’il officie en solo dans son propre studio à Hossegor, l’ex-leader de Concorde, Clément Froissart, tient toujours à soigner ses clips. Tout a commencé avec le superbe triptyque de singles clippés, Dreamers/Peupleraie/Amour armure – qui voyait Froissart se détourner de la langue de Shakespeare au profit de celle de Molière –, puis il nous a laissé avec un tout petit EP avant de repartir dans l’ombre. Et le voici de retour, ce mardi 6 juillet, avec La Vague aux cheveux d’or, un tout nouveau single à travers lequel Froissart annonce enfin son 1er album solo, Panier Piano.
Entre clip et making-of
S’il faudra s’armer de patience avant de découvrir ce disque à paraître le 1er semestre de 2022, ce titre s’offre déjà une mise en images signée Guillaume Cagniard – fidèle collaborateur de Clément Froissart– et Timothée Verrecchia. Pour illustrer cette entêtante ritournelle bilingue, la paire de réalisateurs s’est fendue d’une vidéo délicieusement méta et DIY, tout en collages surréalistes.
>> A lire aussi : Le docu de Wim Wenders sur le mythique groupe cubain Buena Vista Social Club, bientôt de retour au ciné
A mi-chemin entre le clip et le making-of, La Vague aux cheveux d’or parvient parfaitement à capter l’énergie de ce morceau partagé entre ses envies d’ailleurs et sa mélancolie. De quoi affirmer que certaines choses ne changent jamais car, même après deux années d’absence, Clément Froissart n’a rien perdu de son talent pour allier images et musique.