Comme Simone Biles, ayons la force de causer santé mentale - BLOG
sportives ne sont pas des super héros mais des êtres humains.Simone Biles, de l'équipe des États-Unis, réagit pendant la finale féminine par équipe, lors de la quatrième journée des Jeux olympiques de Tokyo 2020, au centre de gymnastique Ariake,...
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Simone Biles, de l'équipe des États-Unis, réagit pendant la finale féminine par équipe, lors de la quatrième journée des Jeux olympiques de Tokyo 2020, au centre de gymnastique Ariake, le 27 juillet 2021, à Tokyo, au Japon (photo Fred Lee/Getty Images)." data-caption="Quelle force. Dire que ça ne va pas quand la société insidieusement nous l’interdit. Rappeler que les sportives ne sont pas des super héros mais des êtres humains.
Simone Biles, de l'équipe des États-Unis, réagit pendant la finale féminine par équipe, lors de la quatrième journée des Jeux olympiques de Tokyo 2020, au centre de gymnastique Ariake, le 27 juillet 2021, à Tokyo, au Japon (photo Fred Lee/Getty Images)." data-rich-caption="Quelle force. Dire que ça ne va pas quand la société insidieusement nous l’interdit. Rappeler que les sportives ne sont pas des super héros mais des êtres humains.
Simone Biles, de l'équipe des États-Unis, réagit pendant la finale féminine par équipe, lors de la quatrième journée des Jeux olympiques de Tokyo 2020, au centre de gymnastique Ariake, le 27 juillet 2021, à Tokyo, au Japon (photo Fred Lee/Getty Images)." data-credit="Fred Lee via Getty Images" data-credit-link-back="" />
SANTÉ MENTALE - Entendre que deux athlètes de légende ont totalement “craqué” ou “lâché” est pénible.
Il y a un tel tabou autour de la santé mentale -on partage sa foulure, mais jamais sa douleur psychologique, sa tristesse, son anxiété, ses crises de panique- que le faire publiquement, sous les yeux du monde entier, me semble le contraire d’une faille.
Voilà à quoi peut aussi ressembler le courage.
Force de briser le tabou
Quelle force. Dire que ça ne va pas quand la société insidieusement nous l’interdit. Rappeler que les sportives ne sont pas des super héros, mais des êtres humains.
Ressentir la pression monstrueuse que l’on prend sur ses épaules quand un pays entier compte sur toi pour lui rappeler de s’aimer ou ce qu’il vaut, quand tu luttes avec tes propres dilemmes intérieurs.
Sans causer des histoires personnelles, qui font partie de nos identités, mais qui ne sont pas non plus la limite de ce que nous pouvons devenir.
C’est OK de ne pas être OK
On ne peut qu’apprendre ce que Simone Biles a pu traverser sans jamais totalement le comprendre. (Si vous n’avez jamais vu le doc “Team Usa, scandale dans la gymnastique” sur Netflix, c’est le moment.)
On ne peut que lire Naomi Osaka partager ses doutes sans jamais les vivre.
Mais on peut leur dire merci si leurs épreuves résonnent, leur rappeler qu’elles ne nous doivent rien et nous souvenir que soutenir ceux que l’on aime quand ça ne va pas peut vouloir dire faire preuve d’empathie, montrer qu’on est là, ne pas juger et répéter que c’est OK de ne pas être OK.
Cette permission à certains moments de nos vies vaut de l’or et mille médailles du même métal.
Ce billet est également publié sur le compte Instagram d’Axelle Tessandier, que vous pouvez suivre sur Facebook et Twitter.
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