Deadletter, les sales gosses anglais à suivre de près

Originaire du Yorkshire, dans le nord de l’Angleterre, et aujourd’hui établi à South London, le sextet a eu la bonne idée de dévoiler son 1er single, Good Old Days, en 2020, en plein confinement. Depuis, Zac, George, Poppy, Alfie, Will et James...

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Originaire du Yorkshire, dans le nord de l’Angleterre, et aujourd’hui établi à South London, le sextet a eu la bonne idée de dévoiler son 1er single, Good Old Days, en 2020, en plein confinement. Depuis, Zac, George, Poppy, Alfie, Will et James ont fait un bout de chemin, livrant un EP deux ans plus tard, l’excellent Heat!, et se forgeant une solide réputation de sales gosses turbulents sur scène.

Chaos joyeux

De passage à Bourges, au Great Escape de Brighton ou encore au festival Pete the Monkey où nous avons croisé le groupe pour la 1ère fois, Deadletter, surmonté d’un saxophone éraillé omniprésent, sème une sorte de chaos joyeux, dans une veine postpunk dansante assumée (ils citent Gang of Four, Talking Heads ou encore The Fall, A Certain Ratio et le poète John Cooper Clarke).

D’ailleurs, leur nom viendrait des paroles écrites par Rowland S. Howard pour une chanson de The Birthday Party (Several Sins). Pas un hasard, donc, si ces six-là se frayent un chemin au milieu des Yard Act, Black Country, New Road et consorts. De source sûre, un album est dans les tuyaux. En attendant, ils seront à l’automne sur scène à Paris.

En concert au Popup!, Paris, le 23 octobre 2023.