Deux femmes : qu'est-ce que l'affaire Monique Case, dont le téléfilm de France 2 est inspiré ?
L'affaire Monique Case ou celle du Bois Bleu. Appelez-le comme vous voulez, mais ce fait divers retentissant, qui a secoué la France il y a plus de 50 ans, a été adapté par France Télévisions dans un téléfilm qui sera diffusé en Prime Time...
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L'affaire Monique Case ou celle du Bois Bleu. Appelez-le comme vous voulez, mais ce fait divers retentissant, qui a secoué la France il y a plus de 50 ans, a été adapté par France Télévisions dans un téléfilm qui sera diffusé en Prime Time sur France 2, ce lundi 6 septembre.
Réalisé par Isabelle Doval et porté à l'écran par les actrices Odile Vuillemin et Agathe Monitzer, "Deux femmes" conte le récit de Colette, une commerçante accusée à tort du meurtre d'un banquier. Le long-métrage, qui est directement inspiré de l'affaire Monique Case, promet de faire remémorer le combat de deux femmes face à la société misogyne des années 60.
Un fait divers retentissant
Nous sommes le 4 novembre 1965. Ce matin-là, les habitants du lieu-dit du Bois Bleu (Cher), sont sous le choc en découvrant le cadavre de Georges Segretin, directeur d'une agence bancaire retrouvé mort dans sa voiture.
La police s'affole et la presse locale relate le témoignage d'une personne qui va à l'encontre de ce qu'à vu la commerçante Monique Case, qui décide de se rendre au commissariat de son village pour rectifier l'erreur.
Mais son intérêt pour l'enquête attise la curiosité des gendarmes, qui décident de se renseigner sur cette commerçante considérée comme une femme indépendante aux mœurs légères, qui dénote avec la société de l'époque. Monique Case devient alors le suspect idéal.
Car rapidement, des rumeurs fusent à son sujet. Dont une l'envoyant dans les bras du gendarme Jules Barrault, avec qui elle aurait procédé au meurtre du banquier. L'affaire est relayée par les médias nationaux, qui n'hésitent pas à la surnommée "Monique la diabolique".
Accusée à tort, elle se voit incarcérée et risque la peine capitale : la guillotine. Avant d'être disculpée grâce à l'aide d'un honnête policier, après 43 jours d'enfer passés en prison.
Deux femmes © © Jean-Marc Auclair - Alauda Films Deux femmes © Sarah ALCALAY Deux femmes © Sarah ALCALAY Deux femmes © Sarah ALCALAY Deux femmes © Sarah ALCALAY Deux femmes © Sarah ALCALAY Deux femmes © © Sarah ALCALAY - FTV Deux femmes © © Sarah ALCALAY - FTV Deux femmes © © Sarah ALCALAY - FTV Deux femmes © Sarah ALCALAY Deux femmes © © Jean-Marc Auclair - Alauda Films Deux femmes © Sarah ALCALAY