Djokovic après le retrait de Biles: "La pression est un privilège" du sport professionnel
JO - Le N.1 mondial de tennis Novak Djokovic a estimé ce mercredi 28 juillet que la pression était un “privilège”, après que la décision de la star américaine de la gymnastique Simone Biles de se retirer de deux épreuves a mis en lumière l’impact...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
JO - Le N.1 mondial de tennis Novak Djokovic a estimé ce mercredi 28 juillet que la pression était un “privilège”, après que la décision de la star américaine de la gymnastique Simone Biles de se retirer de deux épreuves a mis en lumière l’impact de la pression sur la santé mentale des athlètes.
“La pression est un privilège. Sans elle, il n’y a pas de sport professionnel”, a affirmé le Serbe, toujours en lice pour devenir le 1er joueur de tennis à remporter le “Golden Slam”, soit les quatre tournois du Grand Chelem et l’or olympique la même année.
“Pour espérer rester au sommet d’un sport, on a intérêt à apprendre à gérer la pression”, a-t-il ajouté.
Djokovic a été aperçu en pleine conversation avec les équipes turques de volley, leur assurant que son mental était un facteur crucial pour expliquer sa longévité.
“Sur et en-dehors du terrain, toutes les attentes... J’ai appris à développer un mécanisme pour gérer cela de manière à ce que ça ne me dérange plus, ça ne m’usera plus”, a expliqué le “Djoker”.
La décision de Simone Biles de se retirer du concours par équipes et du concours général a mis en lumière les problèmes de santé mentale dont peuvent souffrir les athlètes de haut niveau, soumis à une énorme pression.
À voir également sur Le HuffPost: Les soutiens à Simone Biles se multiplient après son retrait