Dosseh frappe fort avec le brûlant “Yezzir” !
Après une période de remise en question qu’il illustre à travers un court-métrage en guise de teaser, Dosseh revient en force avec “Trop tôt pour mourir”, un projet ambitieux rassemblant des featurings de Tiakola, Zed, Werenoi, Leto, Lacrim,...
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Après une période de remise en question qu’il illustre à travers un court-métrage en guise de teaser, Dosseh revient en force avec “Trop tôt pour mourir”, un projet ambitieux rassemblant des featurings de Tiakola, Zed, Werenoi, Leto, Lacrim, Dinos, Momsii, Josman et Tayc. Frère de Pit Baccardi, Dosseh hérite du même talent pour les punchlines aiguisées et les paroles à forte résonance. Il dévoile également un single percutant, “Yezzir”, véritable capsule créative qui marque le début d’une nouvelle ère pour l’artiste.
Dosseh frappe fort avec le brûlant “Yezzir” !
La production musicale de ce titre explosif est signée DLS, producteur allemand qui a déjà collaboré avec Luciano, notamment sur son titre en featuring avec Niska, “Blue Porshe”. Le morceau, riche en basses et en rythmes soutenus, offre à Dosseh l’occasion de déployer un flow incisif, parfaitement en phase avec la production.
Le rappeur distille quelques punchlines mémorables, telles que “Il suffit d’un mauvais jour pour faire du meilleur des héros un vilain”, ou encore “J’prends pas de Lean, j’prends pas de Perc / Mais j’toucherai quand même le Nirvana comme Kurt”, une référence explicite à Kurt Cobain, le légendaire leader du groupe Nirvana, décédé tragiquement d’une overdose. Ce sombre épisode de sa vie a d’ailleurs inspiré le long-métrage “Last Days”, réalisé par Gus Van Sant. Avec “Yezzir”, Dosseh dévoile une maîtrise de son flow qu’on lui avait rarement vue jusque-là.
Le clip, à la fois sobre et redoutablement efficace, est signé par Hustler Games. Cette société de production a également récemment travaillé sur le visuel de “Doucement” de Niaks, ainsi que sur le featuring entre l’Algérino et Soolking dans “Roméo”.
