Dragon Ball : memes, GIFs et photos désormais pourchassés sur Twitter
La Shueisha, maison d’édition japonaise qui gère Dragon Ball, fait le ménage sur Twitter en bloquant les comptes qui publient des images en lien avec sa licence. La Shueisha a entamé une chasse aux sorcières sur Twitter (et peut-être même...
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La Shueisha, maison d’édition japonaise qui gère Dragon Ball, fait le ménage sur Twitter en bloquant les comptes qui publient des images en lien avec sa licence.
La Shueisha a entamé une chasse aux sorcières sur Twitter (et peut-être même sur d’autres plateformes, bien que l’information n’ait pas été confirmée). La maison d’édition japonaise bloque en effet, depuis ce jeudi, tous les comptes publiant du contenu en lien avec Dragon Ball. Ces mesures drastiques concernent aussi bien les fanarts que les GIFs et évidemment les captures d’écran de l’anime. Sur Twitter, les témoignages de compte ayant reçu le message pour violation de copyright s’accumulent.
Are. You. Kidding. Me?
A GIF.
I got locked down by SHUEISHA on Twitter for a GIF.If they can do this once they can do it again and ill lose my account for SHARING A DRAGON BALL GIF.
Watch out guys. pic.twitter.com/K67Lyjkkob
— RoseScape (@BlackScapeRose) January 7, 2021
Des strikes anormaux liés à Dragon Ball ?
Dans le message adressé aux utilisateurs, traduit par IGN France, la Shueisha précise qu’elle «offre de l’information et du divertissement pour des millions de gens chaque jour via différentes formes de communication – dont les textes imprimés En tant que l’un des éditeurs majeurs du Japon, nos publications englobent un large panel de sujet et de genre, du manga et des magazines de divertissement à la littérature, l’art ou les livres d’enfants.»
De très nombreux comptes en ont déjà fait la malheureuse expérience, tandis que la Shueisha culmine en tendances Twitter depuis ce vendredi matin. À noter que la Sheuisha n’a pas clairement communiqué sur les raisons de cette mesure particulièrement virulente. Si certains suggèrent qu’il pourrait s’agir d’une décision suite aux derniers leaks liés à Dragon Ball Super, la théorie de strikes aléatoires certainement liés à un bot est tout de même la plus crédible.
À découvrir également : il finance ses études de médecine en vendant ses cartes Pokémon
Je comptais pas commenter la question de la Shueisha mais comme ça prend de l’ampleur : ça ne sert à rien de tomber dans l’alarmisme à outrance
Il y a 978 éléments qui montrent que les strikes sont (au moins en partie) anormaux
Faites comme s’il n’y avait rien, ce sera pareil lol— Kowai (@_Kowai_) January 8, 2021