“Drink Up, Rainforest Sinatra”, un bordel sonique organisé signé Nathan Roche
Il aura fallu sept ans pour retrouver Nathan Roche – le leader de Villejuif Underground – en solo. Et force est de constater que l’attente valait la peine. Comparé à Jonathan Richman, l’Australien longiligne se place encore une fois comme un...
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Il aura fallu sept ans pour retrouver Nathan Roche – le leader de Villejuif Underground – en solo. Et force est de constater que l’attente valait la peine. Comparé à Jonathan Richman, l’Australien longiligne se place encore une fois comme un songwriter incontournable avec ce Drink Up, Rainforest Sinatra.
Tout au long des douze chansons qui composent ce disque, on suit le chanteur en errance parmi des guitares distordues et des saxophones presque free jazz, cherchant quelque chose d’un peu spécial dans une Brocante à Belleville, se rêvant au volant d’une Cadillac sur la côte Est américaine alors qu’il traîne simplement ses guêtres à La Ciotat ; ou encore se réveillant perdu, fracassé par une immense gueule de bois dans la terne ville de Dieppe (Deep Shit in Dieppe).
Désormais exilé dans les Bouches-du-Rhône, loin du fracas parisien, Nathan Roche vient donner un grand coup de pied dans la fourmilière parfois trop sage du rock français. C’est désormais certain : cet été, la bande-son de nos virées enivrées sera ce fiévreux Drink Up, Rainforest Sinatra.
Drink Up, Rainforest Sinatra (Gone with the Weed)