Dry Cleaning dévoile un nouveau morceau obsédant

Avec ses faux airs de Sonic Youth période Goo et déjà deux ep prometteurs au compteur, Dry Cleaning trouve parfaitement sa place sur la liste, non-exhaustive, de nos espoirs post-Brexit. Si ça se bouscule sur la scène britannique qui grouille...

Dry Cleaning dévoile un nouveau morceau obsédant

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Avec ses faux airs de Sonic Youth période Goo et déjà deux ep prometteurs au compteur, Dry Cleaning trouve parfaitement sa place sur la liste, non-exhaustive, de nos espoirs post-Brexit. Si ça se bouscule sur la scène britannique qui grouille de pépites, le quatuor de South London tire son épingle du jeu en combinant post-punk et voix féminine dominante. Annonçant New Long Leg, un premier long format à paraître au printemps, Dry Cleaning en balance un nouvel extrait à base de basse envoûtante.

Strong Feelings distille avec précision tout ce qu’il y a de “post” - punk ou rock - en enfilant quelques riffs affriolants sur une ligne de basse à première vue discrète mais, en fait, terriblement obsédante. Dans un communiqué rapporté par Pitchfork, la chanteuse Florence Shaw compare le morceau au fait “d’être secrètement amoureux de quelqu’un qui ne le sait pas et du rôle perturbateur du Brexit dans les relations amoureuses”. Bourré de pixels, le clip enchaîne des plans insaisissables d’engins de chantier en pleine action, signe d'un grand chamboulement ?

Rendez-vous en avril 

En novembre dernier, Dry Cleaning sortait Scratchcard Lanyard, un premier titre tiré de leur album New Long Leg, enregistré en 15 jours en pleine cambrousse galloise, aux Rockfield Studios, sous les oreilles bienveillantes de John Parish, le producteur de PJ Harvey. Oui, ça envoie !

Il faut encore patienter jusqu’à l’éclosion des bourgeons pour découvrir l’album. On trépigne déjà.

>> A lire aussi : Découvrez l’histoire des pionnières de la musique electro

>> A lire aussi : A la rencontre de Jäde, la Lyonnaise qui réinvente le r'n'b made in France