Emmanuel Macron "optimiste" puis "pessimiste" : Quotidien obligé de faire une précision sur l'un de ses sujets
Une petite mise au point dans Quotidien. Les 10 et 11 mars dernier, se tenait à Versailles un sommet des dirigeants européens pour discuter de la guerre en Ukraine et se mettre d'accord sur les positions à adopter vis-à-vis de la Russie et...
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Une petite mise au point dans Quotidien. Les 10 et 11 mars dernier, se tenait à Versailles un sommet des dirigeants européens pour discuter de la guerre en Ukraine et se mettre d'accord sur les positions à adopter vis-à-vis de la Russie et de Vladimir Poutine. Un sujet a été consacré à cette rencontre dans Quotidien le 11 mars dernier, dans un petit reportage tinté, comme le veut l'émission, de second degré. Mais cette fois, bien malgré Yann Barthès, ce sujet a provoqué un tollé, notamment pour avoir quelque peu induit en erreur certains téléspectateurs.
En opposant deux séquences, Quotidien a ainsi laissé penser que Emmanuel Macron avait déclaré aux médias français être "pessimiste" vis-à-vis de l'issue de ses discussions avec le président russe, avant de se révéler "optimiste" auprès des médias anglo-saxons. Et il n'a pas fallu longtemps à l'extrême droite, et au plus grand talk-show de la télévision russe, pour reprendre ces propos déformés, amenant les équipes de Yann Barthès à faire une mise au point, qui a décidé de dévoiler l'extrait en entier, "par souci de clarté". Dans le 1er, en français, le président de la République explique bien être "pessimiste", avant de se dire "optimistic", soit "de nature optimiste" en anglais, avant de préciser être malgré tout réaliste.
Julien Bellver plaide "un raccourci volontaire"
Deux formulations qui veulent dire la même chose de la part d'Emmanuel Macron, qui, de nature optimiste comme il l'affirme, se dévoile réaliste et donc, un peu plus pessimiste, à propos de la situation actuelle avec la Russie. Julien Bellver plaide lui "un raccourci volontaire" de la part du président de la République. "Bref, le président utilise deux mots opposés pour dire la même chose, c'est ce que l'on a voulu montrer vendredi, au second degré", a ainsi précisé le journaliste.
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