En Isère, une soirée clandestine de 200 teufeurs interrompue
SOIRÉE CLANDESTINE - Les forces de l’ordre ont été alertées par une voisine, gêné par le bruit provenant d’un local associatif. Les policiers ont mis fin à une soirée clandestine dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 janvier à Saint-Martin-d’Hères,...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
SOIRÉE CLANDESTINE - Les forces de l’ordre ont été alertées par une voisine, gêné par le bruit provenant d’un local associatif. Les policiers ont mis fin à une soirée clandestine dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 janvier à Saint-Martin-d’Hères, à côté de Grenoble (Isère).
La plupart des 200 participants ont fui à l’arrivée des forces de l’ordre, qui ont mis fin à la fête vers 22h15, mais certains ont essayé de résister, ont indiqué la préfecture et le procureur de la République de Grenoble Eric Vaillant à l’AFP. La police a fait usage de gaz lacrymogène et deux policiers, légèrement blessés, ont été bousculés et piétinés par les participants.
Deux participants de cette soirée ont également été blessés, ajoute la préfecture, sans donner plus de précisions.
Couvre-feu à 18h
Trois “teufeurs” ont été interpellés et placés en garde à vue: l’organisateur présumé de la soirée, né en 1984 et locataire du local, ainsi qu’un participant, né en 2001 et alcoolisé, accusé de violences volontaires, et enfin le DJ de la soirée, né en 1985, interpellé pour mise en danger de la vie d’autrui et possession de stupéfiants, selon le procureur.
Au total, 38 verbalisations pour non-port du masque ont été prononcées sur place et la sono a été saisie. Il n’est pas déterminé, à ce stade, si le propriétaire du hangar où se tenait l’évènement festif avait autorisé ou non la soirée.
Un couvre-feu à 18h est en place depuis samedi 16 janvier sur l’ensemble du territoire métropolitain pour tenter d’enrayer l’épidémie de Covid-19.
Ces dernières semaines, plusieurs soirées clandestines ont été interrompues par les forces de l’ordre, notamment une près de Rennes lors de la Saint-Sylvestre ou encore d’autres mi-décembre en région parisienne.
À voir également sur Le Huffpost: À Paris, la première nuit de couvre-feu respectée