En Nouvelle-Zélande, opération d'ampleur pour sauver des dauphins échoués
NATURE - Une opération délicate. Des sauveteurs néo-zélandais ont réussi ce mardi 23 février à remettre à flot des “dauphins-pilotes” piégés sur le littoral, mais les mammifères sont restés à proximité du rivage, menaçant de s’échouer à nouveau.Le...
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NATURE - Une opération délicate. Des sauveteurs néo-zélandais ont réussi ce mardi 23 février à remettre à flot des “dauphins-pilotes” piégés sur le littoral, mais les mammifères sont restés à proximité du rivage, menaçant de s’échouer à nouveau.
Le ministère de la Conservation (DOC) a précisé que les mammifères faisaient partie d’un banc d’une cinquantaine de globicéphales découverts échoués à Farewell Spit, une langue sableuse à 90 kilomètres au nord de la ville touristique de Nelson, située à l’extrême nord de l’Île du Sud de la Nouvelle-Zélande.
Une quarantaine ont été remis à l’eau lundi soir avant de s’échouer à nouveau mardi matin. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, une soixantaine de volontaires ont aidé à remettre à l’eau les 28 mammifères revenus s’échouer.
“Les dauphins sont proches du rivage et il n’est pas certain qu’ils nageront vers le rivage ou qu’ils ne s’échoueront pas à nouveau”, a déclaré une porte-parole du DOC. Des volontaires et des employés du ministère sont restés sur place, prêts à intervenir si besoin.
Pas d’explication scientifique
Au moins 15 membres de ce groupe de mammifères sont morts. Farewell Spit est une langue de sable de 26 kilomètres de long qui s’avance dans la Golden Bay.
Elle a été le théâtre d’une dizaine de cas d’échouements de groupes de globicéphales au cours des 15 dernières années. En février 2017, près de 700 de ces mammifères s’étaient échoués à Farewell Spit, dont 250 qui avaient péri.
Il n’existe pas d’explication scientifique certaine de ce phénomène. Des hypothèses font état d’une maladie, d’erreurs de navigation, de présence de prédateurs, de conditions météorologiques extrêmes ou de problèmes liés à la topographie de certains lieux.
Mais d’autres mettent en cause l’activité humaine, et notamment des perturbations générées par les sonars à haute fréquence.
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