En pleine polémique, le surnom moqueur donné à Gérald Darmanin : "On l’appelle…"

Un surnom peu commun. Gérald Darmanin était pourtant pressenti à Matignon en août 2023. Mais à la surprise de tous, c'est Élisabeth Borne qui a été reconduite au poste de Première ministre. Une grosse désillusion pour l'ancien ministre de l'Intérieur....

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Un surnom peu commun. Gérald Darmanin était pourtant pressenti à Matignon en août 2023. Mais à la surprise de tous, c'est Élisabeth Borne qui a été reconduite au poste de Première ministre. Une grosse désillusion pour l'ancien ministre de l'Intérieur. L'un de ses partisans s'était d'ailleurs agacé dans les colonnes du Parisien. "Darmanin, ils l'ont fait danser pendant dix jours !", a-t-il déclaré. Si le principal concerné n'a rien montré devant les médias, en coulisse, certains concurrents ne l'ont pas loupé.

Le surnom peu commun de Gérald Darmanin

Toujours dans les colonnes du Parisien, un ministre s'était réjoui de sa non-nomination à Matignon. "C'est fini le garçon bien élevé", a prévenu ce dernier. Les opposants de Gérald Darmanin ont saisi ce camouflet pour ressortir un méchant surnom du placard : Iznogoud. Créé par René Goscinny et Jean Tabary, ce personnage de bande dessinée souhaite en effet devenir un "calife à la place du calife". Par ailleurs, ce surnom, peu commun, est similaire à l'expression anglaise "he’s no good". En français, cela signifie simplement "il n’est pas bon", qui renvoie à quelque chose ou quelqu'un de méchant.

Gérald Darmanin relance le débat sur le temps de travail en France

Ce dimanche 6 août, Gérald Darmanin qui a recalé un chroniqueur de TPMP, a relancé le débat sur le temps de travail des Français. Ce dernier a alors proposé de mettre fin aux 35 heures de travail dans le travail, à défaut d'une augmentation des impôts des plus riches et des multinationales. "Un choc fiscal ne fait pas une politique économique. Et cette voie risque de tuer la croissance et de créer du chômage de masse", a-t-il déploré dans une entrevue au quotidien Les Echos. Et de poursuivre, déclarant : "Quand on prend le toboggan des impôts, tout le monde fini par être concerné".

Des propositions pour les leviers d’économies

Estimant que "le sujet en France est qu’on ne travaille pas assez", l'ancien ministre de l'Intérieur n'a pas caché son agacement. "Il est paradoxal qu’un Premier ministre issu des LR ait comme 1ère mesure l’augmentation forte des impôts sur les sociétés et sur le capital. On en perd son latin", s'est-il agacé. Pour Gérald Darmanin, l'idéal serait de "travailler plus". L'homme politique qui a fait virer une animatrice de M6 a ensuite proposé plusieurs leviers d’économies : "la suppression d’un deuxième jour férié dans le public comme dans le privé". Ainsi que le passage "à 36 ou 37 heures" de travail chaque semaine dans le public.