Énora Malagré (Le Magazine de la santé) : "J'ai une vie sous pilules", ses confidences sur sa maladie
Comment l'idée de devenir chroniqueuse dans Le Magazine de la santé est-elle née ?ÉNORA MALGRÉ : Avec Marina Carrère d'Encausse, on se connaît depuis longtemps. J'étais venue en plateau causer de l'endométriose. L'idée est ensuite venue de...
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Comment l'idée de devenir chroniqueuse dans Le Magazine de la santé est-elle née ?
ÉNORA MALGRÉ : Avec Marina Carrère d'Encausse, on se connaît depuis longtemps. J'étais venue en plateau causer de l'endométriose. L'idée est ensuite venue de proposer un rendez-vous régulier sur la santé des femmes qui présenterait des associations engagées en ce sens. Elle a estimé que j'étais légitime pour le faire.
Aviez-vous envie de revenir à tout prix à la télévision ?
Non, aujourd'hui je suis comédienne. Mais la proposition est cohérente avec ce que je suis. J'ai quitté Touche pas à mon poste ! en 2017. Ça me paraît tellement loin, mais on continue à m'en causer tous les jours.
Vous allez fêter dans quelques mois vos vingt ans d'antenne. Quel regard portez-vous sur la jeune Énora qui faisait ses débuts au micro de Radio Nova ?
J'ai de la tendresse pour elle. C'est là que je me suis fait une bonne culture musicale... Et puis la télé est arrivée, avec TPMP, où je me suis éclatée...
Que devient la comédienne que vous êtes ?
Je pars ces jours-ci en tournée avec Le Bal des vautours, une pièce de théâtre d'Alain Krief, aux côtés de Shirley Bousquet et Élisabeth Buffet. Et pour le cinéma, j'ai un mini-rôle dans le prochain Marjane Satrapi et un autre, plus important, dans le nouveau film de Frédéric Quiring. Sinon, j'aimerais bien faire de la fiction pour France Télévisions, par exemple. Une chose est sûre, je ne jouerai plus les ingénues, ni les bombes atomiques...
Comment avance votre combat au sujet de l'endométriose ?
L'écriture de mon livre Un cri du ventre (éd. Leduc) a été thérapeutique. Je suis malade et il n'y a pas de remède. J'ai une vie sous pilules. Le traitement qui aide à vivre avec cette maladie est costaud. La recherche est à zéro, on a interpellé le gouvernement. Il y a tout à faire : chercher des sous pour trouver un remède, former les médecins, car c'est une maladie parfois mal diagnostiquée. Une femme sur dix en souffre...
Le Magazine de la santé © © MARIE ETCHEGOYEN Le Magazine de la santé © © MARIE ETCHEGOYEN Le Magazine de la santé © © MARIE ETCHEGOYEN