Essaim, le club qui fait revivre l’esprit Concrete dans la capitale, ouvrira en octobre

En juillet 2019, le club Concrete fermait ses portes, signant la fin des longues nuits (et journées) électro qui s’y déroulaient. Cet espace de fête du 12e arrondissement parisien avait été créé en 2011, afin de répondre à l’objectif de familiariser...

Essaim, le club qui fait revivre l’esprit Concrete dans la capitale, ouvrira en octobre

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En juillet 2019, le club Concrete fermait ses portes, signant la fin des longues nuits (et journées) électro qui s’y déroulaient. Cet espace de fête du 12e arrondissement parisien avait été créé en 2011, afin de répondre à l’objectif de familiariser le public à des DJ plus house, techno et minimal, plus underground”, racontait Brice Coudert – son ancien directeur artistique – aux Inrocks, lors de la fermeture du club.

Cinq ans plus tard, c’est aux côtés de Jonathan Malaisé – l’ancien directeur technique et de production du lieu –, de David Bossan et de Tommy Gin qu’il s’apprête à offrir une suite à Concrete avec Essaim. Une adresse qui entend, comme sa prédécesseure, porter haut les couleurs d’une scène électro (et moderne) en effervescence. La programmation musicale sera ainsi pilotée par Brice Coudert lui-même et Antoine Hernandez, déjà coprogrammateur du festival Positive Education.

Chez Essaim, danseur·ses et DJ sur un même pied d’égalité

À l’instar du précédent club, Essaim placera le public au centre : un dancefloor imaginé par l’architecte Dorothée Hachiken, mettant danseur·ses et DJ sur un même pied d’égalité, un bar aux tarifs moins mirobolants que ceux de la plupart des lieux parisiens, une jauge limitée pour éviter de se sentir à l’étroit… Autant de promesses qui pourront se vérifier dès son ouverture, le 31 octobre prochain.

L’idée est d’en faire le nouveau QG d’une scène aux goûts musicaux affutés et d’un public puriste et curieux”, lit-on dans un communiqué de presse, tout en garantissant au public le respect de chacun·e, sans compromis sur le confort, la sécurité ou le bien-être collectif”. Et ce, au centre de Paris, entre gare du Nord et gare de l’Est. Une chose est sûre : on sera de la fête.