Etudiants : Les protections périodiques bientôt disponibles gratuitement dans les facs !
Le tabou de l’hygiène menstruelle a enfin été brisé par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. Ce dernier qui a annoncé la disponibilité prochaine de 1 500 distributeurs de serviettes hygiéniques et tampons dans les universités....
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Le tabou de l’hygiène menstruelle a enfin été brisé par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. Ce dernier qui a annoncé la disponibilité prochaine de 1 500 distributeurs de serviettes hygiéniques et tampons dans les universités.
Si l’Ecosse fait partie des premiers pays à avoir proposé la gratuité des serviettes hygiéniques et tampons auprès de la population, la France avance également vers cette vulgarisation des instruments de l’hygiène féminine. Les statistiques rapportent en effet que près d’1,7 millions de femmes seraient dans la précarité menstruelle. Les prix de ces accessoires d’hygiènes devenant inaccessibles pour une partie des personnes concernées. Face à une telle situation, le gouvernement a décidé d’agir. Pour cela, une première initiative visant les étudiants a été mise en route. Un dispositif visant à implanter en tout 15 000 distributeurs de tampons et serviettes hygiéniques dans les universités a donc été annoncé par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Une initiative visant à aider les étudiants
Ces protections périodiques gratuites devraient être disponibles à partir de la prochaine rentrée. Il s’agit d’une action qui entre dans le cadre de l’initiative baptisée « Brisons le tabou des règles » lancé par quatre femmes membres du gouvernement. Cette dernière qui vise à lutter contre la précarité menstruelle. Il faut croire que les différents efforts dernièrement entrepris par les collectivités pour aider les jeunes en difficulté ont également inspiré cette cause. La crise sanitaire ayant laissé une empreinte considérable au niveau des portefeuilles des étudiants qui doivent aujourd’hui lutter pour survivre.
Cette annonce a bien entendu été accueillie de la meilleure des manières par la gente féminine qui peuple les universités. Désormais, les serviettes et tampons seront des charges fixes qui ne sortiront plus de leur budget mensuel.