Gainsbourg dans les yeux de Sébastien Tellier : “Son âme suintait de chaque note”

“Ma première image de Gainsbourg, c'est chez Drucker. Je vois une épave au milieu d'un décor étincelant. J'ai commencé à aimer sa musique plus tard lorsque j'étais en âge de comprendre la jouissance de la perversité, le second degré, l'amour...

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“Ma première image de Gainsbourg, c'est chez Drucker. Je vois une épave au milieu d'un décor étincelant. J'ai commencé à aimer sa musique plus tard lorsque j'étais en âge de comprendre la jouissance de la perversité, le second degré, l'amour du jeu. Avec mes copains, on plaçait Gainsbourg sur un piédestal. Dès qu'on mettait un de ses disques, c'était vibrant.

J'aime ses albums-concepts, Histoire de Melody Nelson ou L'Homme à la tête de chou qui est son Graal, son œuvre majeure. C'est un phare. Il ne fait rien comme les autres et ça sonne encore mieux. Je n'aime pas quand Gainsbourg fait le comique grivois, graveleux, ses chansons “pouët-pouët” comme L'Ami caouette.

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