Gamji dévoile “Grandir” !
Il se distingue des artistes qui dominent le rap game. Gamji redonne ses lettres de noblesse à l’écriture dans la musique. Ses influences vont de Hermann Hesse à Charles Aznavour. Le projet de Sofiane Pamart, le virtuose du piano, et Scylla...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Il se distingue des artistes qui dominent le rap game. Gamji redonne ses lettres de noblesse à l’écriture dans la musique. Ses influences vont de Hermann Hesse à Charles Aznavour. Le projet de Sofiane Pamart, le virtuose du piano, et Scylla représente aujourd’hui sa plus grande influence. Car derrière le nom de Gamji se cache un artiste qui évolue entre piano et voix dans un style qui honore la chanson française et qui apprécie les artistes au verbe tranchant.
Gamji dévoile “Grandir” !
L’artiste vient de dévoiler un nouvel EP. “Grandir” porte bien son nom. Entre quelques notes de piano, il retrace sa biographie en musique, passant morceau par morceau à travers toutes les phases de son existence. De son enfance à ses doutes et ses joies, le récit de l’artiste est universel ; il cause à tous ceux qui, comme lui, passent de l’enfance à l’âge adulte dans cette phase transitoire et difficile qu’on appelle la jeunesse. Dans “Max”, le deuxième titre de cet EP, il se fait le porte-parole d’une jeunesse qui aspire au succès dans la musique. En exprimant simplement les aspirations de sa jeunesse, en se glissant dans différents corps, différentes vies, en essayant d’incarner chacun, l’artiste aspire lui aussi à “Grandir”.
De l’amitié amoureuse de “L” à la petite enfance de “Grandir”, son titre éponyme, l’artiste explique les histoires de jeunesse de tous dans un projet qui fait écho au “36 seasons” de Ghostface Killah, au “JVLIVS” de SCH, ou encore au “Lemonade” de Beyoncé. Il se explique morceau après morceau.
Des références intéressantes comme Miyazaki, des thèmes universels qui causent à une jeunesse en quête de repères. L’affirmation de Fuzatti dans “Orgasmic” semble plus que jamais d’actualité : “Génération d’analphabètes qui veut se convaincre que rien n’est écrit.”