Guillaume Pley explique son entrevue avec ce gros rappeur américain : «Un mec tenait un chronomètre»

Pour notre dernière vidéo YouTube, Guillaume Pley a revisité sa carrière à travers un Face à Lui Même. Il explique une entrevue avec 50 Cent. Plus d’une décennie de radio, plus d’une année de formats YouTube à son actif, Guillaume Pley en a...

Guillaume Pley explique son entrevue avec ce gros rappeur américain : «Un mec tenait un chronomètre»

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Pour notre dernière vidéo YouTube, Guillaume Pley a revisité sa carrière à travers un Face à Lui Même. Il explique une entrevue avec 50 Cent.

Plus d’une décennie de radio, plus d’une année de formats YouTube à son actif, Guillaume Pley en a fait du chemin depuis ses débuts. À l’occasion du lancement de son nouveau format d’entrevues, Legend, il nous a accordé une entrevue dans laquelle on a pu revenir en long et en large sur sa carrière, disponible sur YouTube. «À chaque fois que j’arrive quelque part, j’ai une opportunité qui tombe un peu du ciel et qui me fait faire de grosses entrevues» sourit-il pendant la vidéo.

«Quand je suis arrivé sur Skyrock en local à Perpignan, je suis là depuis une semaine, je ne sais pas parlé dans un micro, j’ai 18 ans et ils me mettent responsable de la local à Skyrock Perpignan, explique Guillaume Pley. Et je me retrouve au bout d’une semaine avec Booba en entrevue. Il passait dans le Sud, et je me retrouve avec Booba». Une coïncidence assez énorme. Mais ce n’est rien à côté de ce que l’animateur radio a vécu en arrivant chez NRJ.

À lire aussi : Guillaume Pley explique la fin du QG, «J’étais bloqué».

Guillaume Pley : «Je ne parlais pas un mot d’anglais»

«J’arrive sur NRJ le vendredi, et on me dit : “Ben tiens, lundi, il y a 50 Cent qui est en France, il veut passer. Il est là l’après-midi, c’est toi qui va enregistrer le truc”. Je ne parlais pas un mot d’anglais, se souvient Guillaume Pley. Elsa, la traductrice qui est géniale, me dit dès le début : “T’inquiètes pas, je vais te rassurer, je te fais le pouce vers le bas ou pouce vers le haut en fonction de si je le sens bien ou pas”. Il s’asseoit, il dit “bonjour” à personne, et là elle me fait *signe négatif*». Les signes avants-coureurs d’une entrevue compliquée.

Finalement, il n’en sera rien : «En fait, je me suis hyper bien entendu avec lui, on a fait une émission chan-mé. Il a été très à l’aise. Je pense qu’il s’est dit : “Ok, c’est des jeunes qui commencent”, et en fait il a été très sympa». Un joli souvenir donc, qu’il garde aussi pour une autre raison.

En effet, c’est la rigueur des Américains qui a énormément marqué Guillaume Pley ce jour là : «C’est là où j’ai découvert les entrevues d’Américains, avec un chronomètre à la seconde près où tu as 30 minutes. Il y a un mec devant la porte que l’on ne voit pas, qui tient un chronomètre. Et à 29 minutes, il te fait : “Eh”, et ça veut dire que tu dois dire “au revoir”».

Dans le reste de l’actualité, Maxime Biaggi explique pourquoi c’est compliqué d’avoir des rappeurs dans “Zen”.