Hanouna répond à l'étude du CNRS sur Zemmour et l'extrême droite dans TPMP

POLITIQUE - “Tout le monde l’a repris, ‘Hanouna marche pied d’Éric Zemmour’”. Cyril Hanouna a diffusé ce mardi 1er février un “droit de réponse” après les observations faites par la chercheuse au CNRS Claire Sécail, au sujet du temps d’antenne...

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Hanouna répond à l'étude du CNRS sur Zemmour et l'extrême droite dans TPMP

POLITIQUE - “Tout le monde l’a repris, ‘Hanouna marche pied d’Éric Zemmour’”. Cyril Hanouna a diffusé ce mardi 1er février un “droit de réponse” après les observations faites par la chercheuse au CNRS Claire Sécail, au sujet du temps d’antenne dans “TPMP” consacré à l’extrême droite.

Face à plusieurs médias qui ont traité l’information, comme l’a fait Le HuffPost ou encore le quotidien L’Humanité qui y a même consacré sa Une en titrant “Le bouffon au service de l’extrême droite”, l’animateur a contesté le suivi de cette chercheuse spécialisée dans les médias qui rapportait que son émission a consacré 52,9% de son temps d’antenne politique au discours nationaliste entre les mois de septembre et de décembre 2021.

“C’est faux. Beaucoup disent que c’est 53% du temps d’antenne de ‘TPMP’, alors que le temps d’antenne politique ne représente que 17% de l’émission, donc c’est que 8,5% de l’émission globale”, tient à répéter l’animateur. 

“Ensuite, on ne va pas se mentir. Éric Zemmour c’est toujours un carton d’audience”, continue-t-il en citant les interventions du candidat d’extrême droite sur d’autres chaînes. “Donc, nous, on cause d’Éric Zemmour, pourquoi? On ne va pas se mentir, c’est lui qui fait aujourd’hui le plus causer de lui”, conclut-il.

“Ivre, elle décide de retranscrire le soir même la séquence de TPMP dans laquelle elle se fait méchamment ruiner sa réputation et celle de toute l’institution qui la paye honteusement à regarder la séquence de TPMP dans laquelle elle se fait méchamment ruiner sa réputation”, a ironisé la chercheuse sur Twitter dans la foulée.

Comment Claire Sécail est-elle arrivée à ce décompte? À la fin de sa note, la chercheuse a expliqué sa méthode: on travail consiste à “compter les temps de parole et d’antenne des différents intervenants des plateaux politiques en tenant compte des modalités d’interaction et des effets de production”, comme le “cadrage des thématiques”, la “capacité des contradicteurs invités à décadrer à leur avantage une question centrée sur leur adversaire et exposer leurs propres idées politiques”, la “capacité des chroniqueurs récurrents à s’affranchir du cadrage imposé” ou encore le contexte dans lequel se déroulent les échanges.

Une méthode différente de celle utilisée par l’Autorité publique française de régulation de la communication audiovisuelle (Arcom), qui “permet de penser de manière plus fine l’économie sociale et discursive des contenus médiatiques”.

À voir également sur Le HuffPost: Le déplacement de Zemmour à Calais ne s’est pas fini comme prévu