Harry Potter à l'école des sorciers : ces effets spéciaux qui laissent à désirer (et que vous n'aviez même pas remarqués !)
C'est un incontournable de l'enfance, un remède à tous les maux et un classique des fêtes de Noël. Pourtant, Harry Potter à l'école des sorciers est loin d'être parfait. Sorti en France le 5 décembre 2001, le film de Chris Colombus est visuellement...
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C'est un incontournable de l'enfance, un remède à tous les maux et un classique des fêtes de Noël. Pourtant, Harry Potter à l'école des sorciers est loin d'être parfait. Sorti en France le 5 décembre 2001, le film de Chris Colombus est visuellement aussi bon que la technologie de l'époque le permettait. Autrement dit, il est parfois assez moyen. Les équipes techniques ont beau avoir tout fait pour le cacher, il est possible, par moment, de discerner les limites des méthodes de CGI (computer-generated imagery) du début des années 2000. Florilège des effets spéciaux les plus bof du 1er voyage à Poudlard.
Des poupées qui volent
Dans Harry Potter à l'école des sorciers, Harry assiste à son 1er cours de vol sur balai. Pendant la leçon, Neville Londubat perd le contrôle de son embarcation et se retrouve suspendu à une statue, à plusieurs mètres du sol. Intégralement réalisé en CGI, le personnage incarné par Matthew Lewis ressemble alors davantage à une poupée de chiffon qu'au jeune Matthew... À noter que cette même technologie est utilisée lors du 1er match de Quidditch de Harry. Les joueurs ont parfois l'air à peine humain, au point que les réalisateurs ont eu recours à la technique du balayage flou pour cacher la misère...
Un méchant pas si méchant
C'est l'une des séquences les plus emblématiques du 1er film Harry Potter. Le soir d'Halloween, Harry et Ron volent au secours d'Hermione, attaquée par un troll des montagnes dans les toilettes des filles de Poudlard. Les trois jeunes sorciers usent alors de la magie pour se défendre, donnant lieu à une scène particulièrement intense. Malheureusement, le troll des montagnes lui-même est loin d'être convaincant. Réalisée en images de synthèse, la bestiole ressemble plus à un boss de jeu vidéo qu'à une véritable menace. Tant pis, on apprécie quand même le spectacle.
La "magie" du fond vert
C'est sans aucun doute le plan le plus raté tous films Harry Potter confondus. Juste après les examens de fin d'année, Harry soupçonne le professeur Rogue de vouloir mettre la main sur la pierre philosophale. Lui et ses deux acolytes vont alors rendre visite à Hagrid dans sa cabane, située dans le parc de Poudlard. Au début de la séquence, Daniel Radcliffe, Emma Watson et Rupert Grint traversent les espaces verts du château d'Alnwick, en Angleterre. Mais une fois chez Hagrid, catastrophe : les trois jeunes acteurs se retrouvent devant un fond vert très mal dissimulé. Résultat : la séquence perd totalement de son réalisme, et on en oublierait presque d'écouter ce que explique Harry... De votre côté, aviez-vous remarqué ces quelques ratés du 1er film Harry Potter ?
Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson © WARNER BROS Matthew Lewis en CGI © WARNER BROS. Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson © WARNER BROS. Le troll des montagnes © WARNER BROS. Harry Potter à l'école des sorciers © WARNER BROS Harry Potter à l'école des sorciers © WARNER BROS Harry Potter à l'école des sorciers © WARNER BROS Jamie Waylett, Tom Felton et Joshua Herdman © WARNER BROS Robbie Coltrane © WARNER BROS Harry Potter à l'école des sorciers © WARNER BROS Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson © WARNER BROS Harry Potter à l'école des sorciers © WARNER BROS