Hatik revient sans langue de bois sur son passé alcoolique et sa guérison !

Nul n’est censé ignorer Hatik ! Le rappeur commence doucement sa carrière chez Daymolition avec des freestyles « Chaise pliante« . Comme beaucoup, il entre dans l’arène numéro 1 où s’affrontent les jeunes rookies gladiateurs toujours en freestyle...

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Nul n’est censé ignorer Hatik ! Le rappeur commence doucement sa carrière chez Daymolition avec des freestyles « Chaise pliante« . Comme beaucoup, il entre dans l’arène numéro 1 où s’affrontent les jeunes rookies gladiateurs toujours en freestyle et jamais sur un octogone. Mais déjà ses chiffres sur Daymolition dépasse la normale. Alors Sofiane l’invite dans « Rentre dans le cercle » avant que ses mixtape éponymes (« Chaise pliante« ) ne voient le jour. Puis, il dévoile son tube « Angela« , un petit remake du Saïan Supa Crew, qui lui vaut pour la première fois, les faveurs du grand public lui qui est respecté des insiders du rap game.

Enfin Gastambide lui donne le premier rôle dans la série « Validé« . Avec son rôle de Clément aka Apash, le rappeur devient une véritable star. Il dévoile dans la foulée son premier album solo « vague à l’âme« , un opus complet et très hétéroclite. Hatik est capable de passer de l’obscurité à la lumière sans effort, c’est ce qui fait sa force artistique, et peut être aussi sa force dans la vie.

Libération a accueilli le rappeur pour la sortie de son projet. Aux journalistes du quotidien progressiste historique, il a dévoilé son histoire. Ce n’est pas une révélations pour ceux qui ont suivi Hatik. Sur les réseaux sociaux, il a fait souvent référence à un passé sombre où il vivait de ses errances dans certains de ses nouveaux titres aussi comme dans « sans titre. » et « crash test« . Il n’a jamais vraiment pensé devenir une star :  J’ai rêvé d’être un grand artiste, mais j’ai jamais rêvé qu’on crie mon nom dans la rue ou au supermarché. Après les deux vont ensemble ».

Puis il se confie sur sa vie avant le succès, les heures de travail au studio, l’alcool, les conneries : « c’était pas joyeux, je faisais des conneries. Ça n’allait pas à la maison avec mes parents, je n’avais pas de meuf. Ce n’était pas la meilleure période de ma vie ». Comme il le dit dans « crash test » : « je me revoie vomir dans la rue sous 6 grammes 5« . Il confiera au journal qu’il était habitué à consommer près de 1,5 litre d’alcool par jour.

Puis il raconte sa conversion à l’Islam. Si pour beaucoup, la conversion à l’Islam est signe de radicalisation en raison de la partialité criminelle de certains démagogues qui confondent laïcité et racisme, pour le rappeur, ça a été une véritable libération. Assagi et croyant, il a tracé sa route vers le succès.

Hatik revient sans langue de bois sur son passé alcoolique et sa guérison ! via @ Rapunchline : C'est tout le rap français sur un seul site !.