Jean-Paul Belmondo célébré aussi dans la presse étrangère
CINÉMA - Il était “l’acteur qui inspira Spielberg et Tarantino” pour Variety, une “légende” pour Vogue, “le Magnifique” pour Le Temps, “un costaud au nez de boxeur et aux lèvres sensuelles, incarnation parfaite de la Nouvelle vague” pour le New...
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CINÉMA - Il était “l’acteur qui inspira Spielberg et Tarantino” pour Variety, une “légende” pour Vogue, “le Magnifique” pour Le Temps, “un costaud au nez de boxeur et aux lèvres sensuelles, incarnation parfaite de la Nouvelle vague” pour le New York Times. Après le décès de Jean-Paul Belmondo à l’âge de 88 ans, la presse internationale a fait les louanges du comédien ce mardi 7 septembre.
Comme vous pouvez le voir dans notre diaporama ci-dessous, de nombreux titres de presse étrangers ont ainsi salué la mémoire d’un acteur “tellement français”.
Connu principalement dans le monde anglophone pour le ”À bout de souffle” de Jean-Luc Godard dans lequel il partageait l’affiche avec la légende américaine Jean Seberg, Jean-Paul Belmondo incarnait ainsi le “voyou”, aussi charmeur que gouailleur, pour une grande partie de la presse anglaise et américaine.
Un homme d’action, qui réalisait ses cascades lui-même, jusqu’à devenir ce “casse-cou” reconnu partout dans le monde. Un “coquin” aussi, “filou”, “séducteur”, qui a joué avec des réalisateurs à la réussite internationale, de Truffaut à Chabrol en passant par l’inévitable Godard donc.
Une gueule “moulée par la boxe” et reconnaissable entre mille, dont la presse internationale vante le charme, le “sexy”. “Personne n’a donné autant de sex-appeal au crime”, écrivent en résumé les Allemands de Bild, quand les Britanniques du Guardian rappellent à quel point “Bébel” était en phase avec la jeunesse française triomphante des années 1960 et 1970.
Un comédien finalement célébré pour sa capacité à jouer sur tous les registres, à l’image d’un Marlon Brando ou de James Dean, auxquels le compare le New York Times. “Une figure-clé d’une génération exceptionnelle pour le cinéma européen, qui aura laissé une marque indélébile”, conclut le Guardian.
À voir également sur le HuffPost: Mort de Jean-Paul Belmondo, monstre sacré du cinéma, à 88 ans