Jean-Pierre Bacri en 7 rôles clefs
Subway (Luc Besson - 1985) Longtemps cantonné à des seconds rôles au cinéma, Jean-Pierre Bacri a plus 30 ans lorsqu'il se fait connaître auprès du public. Sorti en 1985, Subway lui vaut sa première nomination aux César dans la catégorie Meilleur...
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION
Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.
Subway (Luc Besson - 1985)
Longtemps cantonné à des seconds rôles au cinéma, Jean-Pierre Bacri a plus 30 ans lorsqu'il se fait connaître auprès du public. Sorti en 1985, Subway lui vaut sa première nomination aux César dans la catégorie Meilleur second rôle. Jean-Pierre Bacri y interprète l'inspecteur Batman dont la mission est de faire régner l'ordre dans le métro parisien.
Cuisine et Dépendances (Philippe Muyl - 1993)
Adapté de la pièce de théâtre écrite par Agnès Jaoui, le film de Philippe Muyl réunit Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri, Zabou Breitman, Sam Karmann et Jean-Pierre Darroussin à l'écran. A l'occasion d'un dîner, Jacques et Martine réunissent des amis perdus de vue. A sa sortie, le film est un succès et le couple Bacri-Jaoui devient un duo clef du cinéma français. Trois ans plus tard, c'est au tour de Cédric Klapisch d'adapter l'une des pièces d'Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri, Un air de famille, sorti en 1996.
La Cité de la peur (Alain Berberian - 1994)
Dans La Cité de la Peur, il interprète un projectionniste pendu à son téléphone. Bougon et très drôle, comme toujours.
Didier (Alain Chabat - 1997)
Trois ans après la succès de La Cité de la peur, Jean-Pierre Bacri retrouve Alain Chabat pour son premier long-métrage Didier. Le film est un succès auprès du public et Chabat repart avec le César du meilleur premier film en 1998.
On connaît la chanson (Alain Resnais - 1997)
Après avoir collaboré avec le cinéaste Alain Resnais dans le diptyque Smoking/No Smoking, adapté de la pièce de Alan Ayckbourn, le couple Bacri-Jaoui signe le scénario de son nouveau film On connait la chanson. En plus de signer le scénario, le couple joue également dans le film. Cette dramédie sur la dépression contemporaine vaut à Alain Resnais un succès public avec près de 3 millions d'entrées. Dans la bande-annonce du film, Jean-Pierre Bacri, irresistible, interprète un tube parlé de Joe Dassin.
Le Goût des autres (Agnès Jaoui - 2000)
Agnès Jaoui signe avec Le Goût des autres sa première réalisation. Jean Pierre Bacri y campe Jean-Jacques, un chef d'entreprise un peu coincé qui s'ouvre au monde du théâtre par amour.
Les Sentiments (Noémie Lvovsky - 2003)
Epoux de Carole, incarnée par Nathalie Baye, le personnage de Jean-Pierre Bacri est saisi d'une passion pour la jeune Edith, interprétée par Isabelle Carré. Alors que le film s'engage dans la voie de la comédie, il s'oriente progressivement vers le mélodrame. Devant la caméra de Noémie Lvovsky, Jean Pierre Bacri s'essaye avec talent à un registre plus sensible.
Chercher Hortense (Pascal Bonitzer - 2012)
Dans cette comédie caustique, étrange et étonnante, la présence de Jean-Pierre Bacri a assuré un succès auprès du public. Dans cette scène qui suit, Bacri découvre perplexe, que son père est désormais homosexuel.
>> A lire aussi : Les Sentiments
>> A lire aussi : "Cherchez Hortense": Bacri admirablement sympathique