JNR réagit aux critiques sur la gestion de son buzz : «Ça m’a fait mal»
Pour Interlude, JNR est revenu sur les nombreuses critiques reçues sur sa stratégie de carrière après son passage chez Greg Guillotin. Il a vu bondir ses streams dès l’été 2020 après son passage sur “Le Pire Stagiaire” de Greg Guillotin. Ce...
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Pour Interlude, JNR est revenu sur les nombreuses critiques reçues sur sa stratégie de carrière après son passage chez Greg Guillotin.
Il a vu bondir ses streams dès l’été 2020 après son passage sur “Le Pire Stagiaire” de Greg Guillotin. Ce 7 avril, JNR dévoilera son 1er long-format, une mixtape intitulée JUNIOR. Un step qui aura pris du temps : trois ans. Et ça n’a pas échappé aux internautes. Sur les réseaux sociaux, ils ont été impitoyables. JNR a donné sa 1ère entrevue à Interlude et s’est exprimé sur son image ainsi que sur ces critiques difficiles à encaisser.
«Ça m’a quand même fait mal de voir les gens qui te soutiennent se retourner contre toi parce que tu n’as pas su combler leurs attentes, dévoile le rappeur. Mais ça m’a donné de l’énergie. Ça m’a fait du bien comme ça m’a fait du mal». En effet, durant cette période, JNR est en proie aux doutes. «Parce que les gens ne savent pas que quand tu “clashes” une personne, que tu le termines sur les réseaux, ce qui se passe dans la vie réelle».
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JNR : «Parfois, il faut laisser le temps»
L’auteur de “Mérité” évoque notamment «des problèmes de justice qui [l]‘ont rattrapé». «Mais Dieu merci, aujourd’hui c’est vraiment derrière moi. J’ai eu beaucoup de problèmes, mais ça m’a forgé». Finalement, «le fait d’avoir cette montée de quelques minutes, ce gros buzz, puis cette descente, ça m’a fait ouvrir les yeux sur beaucoup de choses. Je pense que j’en avais besoin pour garder les deux pieds sur terre».
Et JNR n’a aucun regret d’avoir attendu. «Parfois, il faut laisser le temps à un artiste de faire ce qu’il a à faire, affirme-t-il. Il n’y a pas que la musique dans la vie. Et avoir un buzz aussi spontané, c’est pas aussi facile que ça en a l’air». Surtout que l’artiste ne s’attendait vraiment pas à une hype aussi importante. «C’est quand j’ai commencé à aller sur Paris, faire des concerts de gauche à droite, voir comment les gens – même de ma famille – me regardaient, que ce n’était plus le même oeil. C’est là que j’ai vu que c’était vraiment quelque chose de gros».
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