Justin Bieber balance un logo (à peine) inspiré de Justice

Ne vous inquiétez pas, Justin n’a pas annoncé un feat avec le duo Justice, ni une reprise super swag d’un de leurs titres. Le Canadien a illustré son nouvel album en remplaçant le T du mot "Justice" par une croix. Un peu comme un groupe que...

Justin Bieber balance un logo (à peine) inspiré de Justice

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Ne vous inquiétez pas, Justin n’a pas annoncé un feat avec le duo Justice, ni une reprise super swag d’un de leurs titres. Le Canadien a illustré son nouvel album en remplaçant le T du mot "Justice" par une croix. Un peu comme un groupe que l'on connait bien chez nous. Hasard ou coïncidence ? En tout cas, dans une story Instagram, il a eu "le malheur" de revendiquer qu’il avait conçu lui-même ce logo très original.

Justice Bieber

Il n’en a pas fallu plus à Pedro Winter, le gourou du label Ed Banger qui héberge Justice, pour se payer la tête du jeune chanteur canadien. Après avoir fait une capture d’écran de la story de Bieber, le boss l’a postée sur le compte Instagram de son label en lâchant ironiquement : “Ed Banger nomme Justin Bieber comme directeur artistique. Nous remercions Mr So Me [l’actuel directeur artistique] pour tout le travail qu’il a accompli depuis 2003”. Trêve de plaisanterie, cette reconversion aurait du bon car elle permettrait à tout le monde de préserver sa santé musicale.

Parmi les quelques railleries en commentaire, on décerne une mention spéciale à celles et ceux qui ont écrit “Justice Bieber” et “Je vais appeler mon album Homework car j'adore faire mes devoirs”. De son côté, la sphère des Beliebers n’en a visiblement rien à carrer et continue d’écouter Holy, Lonely et Anyone, les trois singles du futur album qu’on vous déconseille fortement.

>> A lire aussi : Quand Lucien Ginsburg invente Serge Gainsbourg

>> A lire aussi : 1997 : Et “Homework” de Daft Punk secoua la planète techno