Kad Merad : "Moi, faut pas me confiner !"

Télé Star : Présentez-nous votre personnage, le juge Richard Altman, dans Un homme d'honneur, adaptation de la série Your Honor (vue sur Canal+)...KAD MERAD : C'est un magistrat impartial, intègre, qui passe pour être une référence dans son...

Kad Merad  : "Moi, faut pas me confiner !"

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Télé Star : Présentez-nous votre personnage, le juge Richard Altman, dans Un homme d'honneur, adaptation de la série Your Honor (vue sur Canal+)...

KAD MERAD : C'est un magistrat impartial, intègre, qui passe pour être une référence dans son métier. Seulement voilà, il a un fils de 20 ans. Dès lors, le pitch est simple : jusqu'où peut aller un homme pour sauver la vie de son fils ?

Avez-vous la réponse pour vous-même ?

On peut être prêt à tout ! Il m'est déjà arrivé de mentir pour mon fils pour une connerie, alors j'imagine si sa vie était en danger !

À l'époque de vos sketches avec Olivier Baroux, pensiez-vous être capable d'incarner ce genre de rôle ?

Je ne sais pas si j'en étais capable mais j'en avais très envie. Depuis bien plus longtemps que vous ne l'imaginez, je visais des personnages qui n'ont pas besoin de faire rire pour exister. Mais ça, c'est un vrai truc de psychanalyste ! Ce qui ne m'empêche pas de continuer à faire de la comédie et de poursuivre mes projets avec Olivier, dont une série plutôt drôle pour la télé, justement.

Quel a été le déclic de votre évolution ?

Baron Noir, sur Canal+. Grâce à cette série, j'ai eu la possibilité de m'installer dans un registre plus dramatique. D'ailleurs, c'est une arme à double tranchant : soit ça vous fige et vous êtes bien dans la merde car vous finissez comme Navarro, soit c'est un tournant qui vous ouvre des horizons. Personnellement, je n'ai jamais eu autant de propositions depuis !

Est-ce aussi facile de montrer vos fesses que de montrer vos larmes face à une caméra, comme vous le faites dans Un homme d'honneur ?

Maintenant, oui. Grâce à Ziad Doueiri, le premier metteur en scène de Baron Noir, j'ai appris comment travailler ce genre d'émotions. Depuis que je sais que c'est un métier, je n'ai plus de pudeur et je pleure de mieux en mieux ! Toutes ces années ont levé mes appréhensions. Sauf peut-être pour les scènes d'amour. Là, ça reste toujours un peu compliqué.

Vous parlez beaucoup de Baron Noir, regrettez-vous son arrêt ?

Comme beaucoup, oui. Pourquoi ne reviendrait-il pas dans quelques années ? Tout cela est une question de scénarii. En tout cas, moi, j'en ai envie.

Quand verra-t-on votre première mise en scène d'une pièce de théâtre, Amis, prévue avant la Covid ?

On l'a jouée en direct sur Canal VOD en février et elle sera diffusée ultérieurement. Quand les théâtres rouvriront, on partira en tournée, avec certainement une escale à Paris.

Et la musique ?

Je vais enregistrer un show pour Canal+ qui s'appellera Kad Merad on Stage et qui partira lui aussi sur les routes. Tout ça est arrivé à cause de la Covid finalement ! Il a fallu se réinventer pour que les spectacles existent malgré tout. Moi, faut pas me confiner !

Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION/TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION/TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION/TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION/TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION/TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION/TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION/TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION / TF1 Un homme d'honneur © © JEAN CLAUDE LOTHER / FEDERATION / TF1