Kim Glow (Les Marseillais) condamnée à une coquette amende pour une vieille histoire de canapé
La justice a rendu son verdict. Le mercredi 14 septembre dernier, Kim Glow a été reconnue coupable de "complicité d'appels téléphoniques malveillants", comme le révélait Var-Matin. Le tribunal correctionnel de Toulon l'a condamnée à 60 jours-amendes...
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La justice a rendu son verdict. Le mercredi 14 septembre dernier, Kim Glow a été reconnue coupable de "complicité d'appels téléphoniques malveillants", comme le révélait Var-Matin. Le tribunal correctionnel de Toulon l'a condamnée à 60 jours-amendes de 80 euros, soit 4.800 euros qu'elle va devoir régler dans les deux mois. La justice a en revanche relaxé Kim Glow pour le délit d'injure pour cause de prescription puisque les faits remontaient au 17 juillet 2018. A cette époque, l'ancienne candidate des Marseillais s'était acharnée contre une entreprise varoise qui venait de lui livrer un canapé. Selon elle, le meuble avait été endommagé par cette société de transport située à La Crau.
Mais à l'époque, la jeune femme n'avait pas vu tout de suite l'ampleur des dégâts, avait réceptionné ce canapé, signé le bordereau de livraison et laissé repartir les livreurs. Après s'être rendue compte que son achat était abîmé, Kim Glow avait alors incité sa communauté à saturer d'appels le standard téléphonique de l'entreprise, ce qu'elle a fait. "Le canapé était cassé, il n'a pas été déballé, pas installé..., s'agaçait-elle. Elle n'arrêtait pas de me dire : 'vous avez signé le bordereau de livraison alors c'est conforme'..." Au tribunal, Kim Glow a reconnu les faits. "Vous avez fait usage de votre notoriété comme si vous étiez au-dessus du lot", lui a reproché le procureur lors de son jugement, comme le rapporte Var-Matin.
Kim Glow "peut avoir le don d'agacer"
"Tout le monde a ce genre de tracasserie dans la vie de tous les jours, c'est votre réaction qui n'est pas adaptée", a ajouté le juge. Son avocat, selon Var-Matin, a minimisé les faits pour lesquels elle a été condamnée. "Parfois elle peut avoir le don d'agacer, c'est pour cela qu'on l'a engagée sur des plateaux de téléréalité", a lancé Me Hervé Lefort durant le jugement de sa cliente. "Une quarantaine d'appels, ce n'est rien du tout pour [une entreprise de cette envergure]", ajoutait-il devant la cour. Quelques jours après avoir été reconnue coupable "complicité d'appels malveillants", Kim Glow n'a pas pris la parole à ce sujet. Sur les réseaux sociaux, la jeune femme continue de publier des photos de son quotidien à Miami.
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