La fin du monde environnementale est une bénédiction, voici pourquoi

SCIENCE -  Savoir que l’on va dans le mur, est-ce le 1er pas pour le surmonter, ou simplement la réalisation qu’il n’y a plus rien à faire?La collapsologie, la science de l’effondrement, est une discipline à l’honneur depuis maintenant plusieurs...

La fin du monde environnementale est une bénédiction, voici pourquoi

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

SCIENCE -  Savoir que l’on va dans le mur, est-ce le 1er pas pour le surmonter, ou simplement la réalisation qu’il n’y a plus rien à faire?

La collapsologie, la science de l’effondrement, est une discipline à l’honneur depuis maintenant plusieurs années, à mesure que les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour la planète. Mais ses penseurs sont-ils crédibles, et où peut-on aller ensuite, au-delà d’un constat très sombre?

C’est justement la question que l’on se pose dans ce nouvel épisode de l’Enver(t) du décor, à écouter en haut de l’article ou en s’abonnant ci-dessous. Le podcast environnement du HuffPost accueille cette fois Marine Le Breton, journaliste au service Life, parce que c’est toujours plus sympa de causer de la fin du monde à trois.

Apple PodcastsSpotify

Les sources utilisées :

  • Notre dossier “Comment ne pas s’effondrer face à l’effondrement”
  • Définition de la collapsologie par Yves Cochet en 2011, vidéo sur TV5 Monde
  • Interview de Pablo Servigne sur 20 Minutes
  • Interview de Jean Chamel, anthropologue qui a soutenu une thèse sur les collapsologues en 2018
  • Interview de Jared Diamond dans Philomag
  • Un article de Jean-Pierre Dupuy en 2020, intitulé “Contre les collapsologues et les optimistes béats, réaffirmer le catastrophisme éclairé”
  • Texte de Maxime Pauwels, enseignant-chercheur en écologie et évolution critiquant la collapsologie
  • Le livre “Le pire n’est pas certain”, de Catherine et Raphaël Larrère