"La Quequetterie" ou comment sauver son resto avec des pénis et des vulves
RESTAURATION - La boulangerie “Legay choc” n’est plus le seul endroit dans le Marais à Paris à proposer des viennoiseries en forme de pénis. La Quequetterie compte bien s’imposer également dans ce domaine. Ce point de vente gourmand et sucré...
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RESTAURATION - La boulangerie “Legay choc” n’est plus le seul endroit dans le Marais à Paris à proposer des viennoiseries en forme de pénis. La Quequetterie compte bien s’imposer également dans ce domaine. Ce point de vente gourmand et sucré est né rue d’Aboukir dans le restaurant Fuumi, entre les deux confinements. Et il ressemble en tout point à un remède contre la crise.
Une solution à la déprime du Covid sous forme de pâtisseries coquines tout d’abord! La fondatrice de cette enseigne, Taziana Jurdi, a repris un concept repéré en Thaïlande et de Madrid: proposer des gaufres en forme de pénis et de vulves. Et elle voit ses “fluffy pancakes” (des gâteaux gonflés et moelleux) et leurs assaisonnements colorés comme un moyen de se “changer les idées”, explique-t-elle au HuffPost dans la vidéo en tête d’article.
Mais La Quequetterie c’est aussi un remède à la crise économique et à la fermeture forcée du restaurant de Taziana Jurdi. Le concept a vu le jour en juin, tel un pop-up store au sein du restaurant Fuumi (qui sert d’ordinaire des sushis-burrito), imaginé par la jeune femme il y a 5 ans. Il a redonné vie à un établissement vidé de sa clientèle dans un quartier habituellement très touristique de la capitale.
Bientôt des franchises “La Quequetterie”?
“C’est la Quequetterie qui a sauvé ma situation économique. (...) Ça m’a un peu sauvé parce que le restaurant est vide depuis un an. Il n’y a personne dans le quartier”, révèle la gérante qui enregistre actuellement près de 1000 commandes chaque jour, avec des prix variant entre 5 et 8 euros selon les ingrédients des gaufres.
Le concept est encore tout jeune, mais Taziana Jurdi assure avoir déjà reçu des demandes de franchises à travers la France et avoir signé un 1er contrat. La jeune femme propose également à des restaurateurs d’ouvrir un corner La Quequetterie dans leur établissement pour essayer, comme elle, de combler le manque à gagner pendant la crise.
En parallèle, la jeune femme souhaite que ses créations puissent être proposées à la livraison dans toute la France depuis son site Internet. Et pour définitivement inonder le marché de vulves et pénis sucrés, une box est en préparation pour permettre à ceux qui le souhaitent de confectionner eux-mêmes leurs propres desserts La Quequetterie. Vous aviez un doute sur la vieille formule “le sexe fait vendre”? Reprenez une gaufre...
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