Le 1er tour de quatre législatives partielles a lieu ce dimanche

PARLEMENT - Le 1er tour de quatre élections législatives partielles a été donné ce dimanche 30 mai à 8 heures dans le Pas-de-Calais, l’Oise, Paris et l’Indre-et-Loire. Elles pourraient servir de test avant les régionales et les départementales...

Le 1er tour de quatre législatives partielles a lieu ce dimanche

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

La ministre Brigitte Bourguignon, ici au Sénat en juillet 2020, est candidate dans le Pas-de-Calais. 

PARLEMENT - Le 1er tour de quatre élections législatives partielles a été donné ce dimanche 30 mai à 8 heures dans le Pas-de-Calais, l’Oise, Paris et l’Indre-et-Loire. Elles pourraient servir de test avant les régionales et les départementales de fin juin, même si l’abstention promet d’être encore plus grande que les 20 et 27 juin.

La législative partielle dans la 6e circonscription du Pas-de-Calais, reportée trois fois pour raisons sanitaires, fera figure de test pour la majorité avant les régionales, opposant la ministre Brigitte Bourguignon à cinq adversaires, dont des candidates LR, RN, ou encore PS, son ancien parti.

La secrétaire d’État avait été élue pour la 1ère fois en 2012 sous l’étiquette PS face à l’UMP, avant de rallier LREM et d’être réélue en 2017 avec 60,84% des suffrages au second tour, face à la candidate RN Marie-Christine Bourgeois.

Suite au décès brutal du député de la 1ère circonscription de l’Oise, Olivier Dassault, en mars, une autre législative partielle à l’issue incertaine départagera dans le même temps - les 30 mai et 6 juin - son neveu Victor Habert-Dassault, désigné par LR mais largement accusé de “parachutage”, et sept rivaux.

Au total, huit candidats s’affrontent dans ce territoire déshérité, marqué par la fonte des services publics et la colère des “gilets jaunes”, où Marine Le Pen était arrivée en tête du second tour de la présidentielle 2017. Dont les très implantés Claire Marais-Beuil (RN) et Dominique Renard (DLF), ou le LREM Karim Lamaaizi.

À Paris, dans le XXe arrondissement, les électeurs choisissent le ou la successeur de la socialiste George Pau-Langevin qui avait démissionné en novembre afin de devenir l’adjointe de la Défenseure des droits Claire Hédon.

En lice dans cette 15e circonscription pour y défendre le seul siège PS de la capitale, Lamia El Aaraje, la fidèle d’Anne Hidalgo, fait face à sept autres candidats dont l’écologiste Antoinette Guhl et Danielle Simonnet (La France insoumise, LFI).

Dans la troisième circonscription d’Indre-et-Loire, qui englobe Loches et le sud de l’agglomération tourangelle, l’élection se tient après la démission de l’UDI Sophie Auconie pour raisons de santé.

L’ancienne députée, qui avait ravi le poste à l’ancienne ministre socialiste Marisol Touraine en 2017, a apporté son soutien à Sophie Métadier, investie par l’UDI et LR. LREM a aussi apporté son soutien à l’actuelle maire de Beaulieu-lès-Loche.

À voir également sur Le HuffPost: À l’Assemblée, hommage à Olivier Dassault, “homme aimable aux mille talents”