L’entrevue de Naasty : la nouvelle vague !

D’où vient ton blaze, Naasty ?Naasty c’est depuis l’adolescence… C’est le résultat de beaucoup de choses, c’est une attitude, un mindset aussi, mais surtout du fait que je rappais assez méchamment et subtilement à la fois. Comment t’es-tu dirigé...

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D’où vient ton blaze, Naasty ?
Naasty c’est depuis l’adolescence… C’est le résultat de beaucoup de choses, c’est une attitude, un mindset aussi, mais surtout du fait que je rappais assez méchamment et subtilement à la fois.

Comment t’es-tu dirigé vers une carrière musicale ?
Je me dirige vers une carrière grâce à mes proches qui m’y poussent et qui insistent sur le fait que mon talent ne peut pas dormir.

Comment définirais-tu ton style ?
Je n’en ai tout simplement pas. Lol, worldwide music peut-être, étant donné que je veux pouvoir causer à tous les profils via ma musique, mais il y aura toujours les sonorités afro jamais très loin.

Il y a deux ans, tu as pris une pause musicale. Pour quelles raisons ?
Sincèrement, cette pause c’était vraiment reculer pour mieux sauter.

Avec quel artiste rêverais-tu de te produire ?
Lauryn Hill, Mary J… pour le rêve. Sinon, il y en a énormément avec qui j’aurais adoré, c’est sûr.

D’où vient le métissage culturel dans tes morceaux ?
Tout simplement de mon background. Du coup, je suis né dans le folklore, et ndombolo, éduqué au gospel, folklore et ndombolo, grandi dans le couper-décaler, ragga, rap, RnB, reggaeton. Tu vois que ça fait déjà beaucoup là ? Lol, une richesse de sonorités incroyable.

Tu viens de sortir le single “Oya”. Quels sont tes projets après la sortie de ce titre ?
Mon 1er projet à court terme c’est d’être partout : radio, télé, etc. Et ensuite, à long terme, c’est d’y rester. Je compte enchaîner les singles.

Qu’est-ce qui te gêne dans le milieu de la musique ?
L’hypocrisie !! Pour faire court.

As-tu une anecdote à expliquer sur ce milieu ?
Franchement, rien que vous n’ayez pas déjà entendu. Tout le monde vit plus ou moins les mêmes expériences à des échelles et timings différents.

Dans quelle salle de spectacle rêves-tu de te produire ?
En termes de rêve, je dirais les stades. Celui de mon pays, celui de la France aussi et d’autres… mais les stades !

As-tu déjà fait beaucoup de scènes ?
Non, et d’ailleurs j’ai hâte de commencer. Le partage d’énergie, c’est ça mon réel kiff.

Qu’est-ce qu’on peut te souhaiter ?
Ce dont j’ai besoin : la concentration, la persévérance, et le succès !