Les 21 concerts et festivals à ne pas manquer en septembre !
Le mois de la rentrée n’est pas synonyme de la fin de la bamboche, bien au contraire ! Rescapés (décalés) de l’année Covid ou prévus à temps, encore nombre d’évènements s’apprêtent à prolonger la saison (f)estivale. Avec les réouvertures tant...
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Le mois de la rentrée n’est pas synonyme de la fin de la bamboche, bien au contraire ! Rescapés (décalés) de l’année Covid ou prévus à temps, encore nombre d’évènements s’apprêtent à prolonger la saison (f)estivale. Avec les réouvertures tant attendues des salles les plus iconiques de la capitale et ses alentours (Le Supersonic, L’International, ou encore La Marbrerie), l’occasion est rêvée de faire le point, ici, des festivals et concerts à ne pas manquer en ce mois de septembre.
Jazz à la Villette (Paris, du mercredi 1er au dimanche 12 septembre)
Depuis le 1er jour de la rentrée, le festival parisien fait son retour, toujours porté par une programmation défricheuse. Cette édition 2021 accueille un tribute à Prince par Jeanne Added et le pianiste Bruno Ruder, un hommage à Manu Dibango, et aussi des concerts de Bachar Mar-Khalifé et Bojan Z, Louis Cole ou Thomas de Pourquery & Supersonic.
Art Rock (Saint-Brieuc, du mercredi 1er au dimanche 12 septembre)
Sous une forme prolongée cette année, l’événement breton parvient à proposer (toujours entre les murs de la ville) l’une des programmations les plus audacieuses de la rentrée, avec son lot d’expositions (Inès Alpha, Margriet Van Breevoort…) ainsi que le passage sur scène de Yelle (pour une alléchante carte blanche), Miossec, Sébastien Tellier, Malik Djoudi, Mansfield.TYA, Bonnie Banane, Lala &ce et bien d’autres…
>> À lire aussi : [Inrocks Festival 2021] Yelle et Miossec : entretien croisé avec deux Breton·nes précurseurs et passionné·esCoconut Festival (Saintes, du jeudi 9 au dimanche 12 septembre)
Toujours dans le contexte idyllique de l’Abbaye aux Dames, le festival saintais revient pour une édition qui s’annonce de haute volée, qui accueillera sur scène espoirs et confirmé·e·s de France et de Grande-Bretagne : Yseult, Bonnie Banane, Malik Djoudi, Le Juiice, Pongo, QuinzeQuinze ou encore Faux Real.
Macki Music Festival (Carrières-sur-Seine, samedi 11 et dimanche 12 septembre)
Les collectifs La Mamie’s et Cracki Records unissent de nouveau leurs forces le temps d’un des évènements les plus chill de l’année. Avec cette fois Antonin Appaix, Murman Tsuladze, Camion Bazar, Musique Chienne, Johnny Rock, Lex Amor et bien d’autres… Et c’est toujours gratuit pour les moins de 12 ans.
Ellipse Festival (Toulouse, du jeudi 23 au dimanche 26 septembre)
Le Metronum de la ville rose accueillera en live Arnaud Rebotini, Malik Djoudi et This Is The Kit. Avec eux, le fastueux collectif Oiseaux-Tempête se joindra à Maxwell Farrington & Le Superhomard, aux côtés de Peter Von Poehl et En Attendant Ana. Une sélection qui dénote dans les programmations de cette fin d’été.
Levitation France (Angers, vendredi 24 et samedi 25 septembre)
Après une année silencieuse, l’événement a vu les choses en grand pour bien rattraper le temps perdu : il accueillera de grands noms de la scène européenne. À savoir les punks britanniques de Shame, la mystique productrice allemande Anika, le jazz psyché de Zombie Zombie et l’Anglais Sonic Boom – légendaire membre de Spacemen 3, aujourd’hui surtout prolifique en tant que producteur chez Beach House ou MGMT et auteur d’All Things Being Equal, son disque de 2020 proche des années les plus psychédéliques d’Animal Collective.
>> À lire aussi : Protocole sanitaire : le casse-tête organisationnel des festivals maintenusSébastien Tellier (Paris, La Cigale, mercredi 8 septembre)
Alors qu’il devait se produire au festival We Love Green, finalement annulé, c’est sur la scène de La Cigale que le grand Sébastien Tellier fera son retour pour défendre son dernier album en date : le synthétique Domesticated. L’occasion de voir ces tubes sous Auto-Tune cohabiter avec ses ritournelles au piano.
Turner Cody (Paris, La Boule Noire, vendredi 10 septembre)
Sans ses Soldiers Of Love, mais bien accompagné par la pionnière de l’anti-folk, Lisa Li-Lund, Turner Cody tentera de transformer la salle de Pigalle en saloon le temps de quelques morceaux issus de son dernier album Friends In High Places. L’ex-Big Crunch Theory viendra quant à elle défendre son 1er album en dix ans : Glass Of Blood.
Hommage à Christophe (Paris, la Philharmonie, dimanche 12 septembre)
Un concert donné à la mémoire du regretté Christophe, qui réunira autant les collègues du musicien que ses successeurs : avec Jean-Michel Jarre, Arthur Teboul (Feu! Chatterton), Malik Djoudi, Salvatore Adamo, Keren Ann, Nawel Ben Kraïem… ainsi que différentes troupes de danse. La plus belle des façons de célébrer un artiste dont le fantôme hante toujours la scène française.
>> À lire aussi : Ses “paradis artificiels”, ses “nuits au poste”… les mémoires de Christophe enfin publiéesApparat (Paris, Le Trianon, dimanche 12 septembre)
Le leader de Moderat viendra (enfin, après un report de presque un an) défendre son LP5 sur scène. Un concert organisé sous son alias solitaire, le plus sensible, où le DJ et compositeur allemand promet de mêler incursions électroniques et compositions orchestrales.
Rone (Paris, Le Trianon, lundi 13 septembre)
Dans la foulée de sa collaboration avec le collectif (la)horde pour le spectacle de danse Room With a View, Erwan Castex (de son vrai nom) fait son retour sur scène. Pour jouer la musique de la performance qu’il a orchestrée, et cette fois sans autre danseur·euse·s que son public, il a choisi de dévoiler son nouveau live au Trianon.
Les Inrocks Super Club (Paris, La Boule Noire, mardi 14 septembre)
Pour son grand retour en live, Les Inrocks Super Club sont ravis d’accueillir la crème de la scène française. A l’occasion de cette nouvelle formule qui investit la salle de La Boule Noire, Les Inrockuptibles et Super ! invitent la baroque Regina Demina, le sensible Lonely Band et l’artisanat pop de Gaétan Nonchalant. Immanquable.
Terrenoire (Paris, La Gaîté Lyrique, mercredi 15 septembre)
Après l’épopée footballistique de l’AS Saint-Etienne en 1976, la scène musicale de la ville entend remettre la ville des Verts sur la carte. Le duo stéphanois et fraternel, Terrenoire, est de cette trempe-là et ils comptent bien vous le prouver à la Gaîté Lyrique en donnant corps à leur 1er album : Les Forces Contraires.
Egyptian Blue (Paris, Supersonic, vendredi 17 septembre)
Après les furieux Squid, Brighton, la station balnéaire anglaise, n’a pas encore offert tous ses prodiges. Derniers en date : Egyptian Blue, nouvelle formation autrice de deux EPs (Collateral Damage et Body Of Itch) qui puisent – une fois n’est pas coutume – dans le meilleur du post-punk. A découvrir de toute urgence avant la déflagration.
Week-end Jane Birkin (Paris, la Philharmonie, du vendredi 17 au lundi 20 septembre)
Trois jours consacrés à l’illustre Jane Birkin entre spectacle vivant, rencontres et concerts. D’abord au théâtre avec Denis Podalydès et Valeria Bruni Tedeschi pour une lecture d’Oh! Pardon tu dormais… (la pièce écrite par Birkin en 1999), puis sur scène avec l’intéressée, accompagnée de l’Orchestre national d’Île-de-France pour reprendre des chansons de Gainsbourg en version symphonique, puis enfin pour interpréter Oh! Pardon tu dormais… sous la direction artistique d’Étienne Daho, coréalisateur de son nouvel album. Triplement immanquable.
Benjamin Biolay (Paris, L’Olympia, lundi 20 septembre)
Le crooner viendra illuminer la salle du Boulevard des Capucines de son large répertoire, en défense de son neuvième et rétrospectif disque de 2020, Grand Prix. Une prestation qui aura su se faire attendre – à cause de la pandémie – et qui promet de voir le musicien donner corps à 20 ans de carrière en un spectacle qui s’annonce déjà mémorable.
BABii, Jazzboy et World Brain (Montreuil, La Marbrerie, vendredi 24 septembre)
Triple dose pour sa réouverture… L’une des scènes les plus iconiques de Montreuil se paye BABii, Jazzboy et World Brain. Respectivement une productrice qui fait incorporer son chant céleste à un collage sonore sans merci, le musicien échappé de Las Aves à la pop insolente dans la lignée d’Agar Agar, et l’électron libre originaire d’Annecy à la démarche faussement absurde. Le rendez-vous est pris.
Lebanon Hanover (Paris, La Gaîté Lyrique, samedi 25 septembre)
Une soirée placée sous le signe de la cold wave avec des illustres ambassadeur·ice·s du genre. Précédé des Londoniens d’Uncanny Valley, le duo composé de Larissa Iceglass et William Maybelline déploiera tout le lugubre romantisme de son septième disque, Sci-Fi Sky, paru en 2020. Un rendez-vous pour les adorateur·rice·s d’Alice Glass et Robert Smith.
Catastrophe (Paris, Le Trianon, mercredi 29 septembre)
Le collectif pluridisciplinaire français le plus enthousiasmant du moment s’apprête à secouer le XVIIIe arrondissement tout entier avec son spectacle GONG! – du nom de son dernier album en date. Une performance entre concert et comédie musicale qui s’annonce aussi colorée qu’immanquable.
Yelle (Paris, La Cigale, mercredi 29 et jeudi 30 septembre)
Celle qui a eu la bonne idée de s’entourer de Voyou et Panteros666 pour L’Ère du Verseau, un quatrième disque qui enterre le second degré de ses débuts, viendra prouver qu’elle est toujours une des figures de proue de la pop francophone à l’occasion d’une double date. L’occasion aussi, parce que ça fait toujours du bien, de retourner scander “Je veux te voir…”, comme en 2007.
>> À lire aussi : “Les artistes d’Ideal Trouble partagent une tendresse radicale” : rencontre avec le programmateur du festivalKids Return (Paris, Le Pop-Up Du Label, jeudi 30 septembre)
Les kids parisiens adeptes du mellotron et fans de Takeshi Kitano viendront faire goûter leur rock débonnaire, à mi-chemin entre Air, Papooz et le Tranquility Base Hotel + Casino des Arctic Monkeys, à l’occasion d’une prestation scénique quasiment liminaire. L’occasion de les applaudir et de découvrir en live un album dont l’annonce se fait encore attendre…